Guerre Sainte pour l'Espagne (904-906)

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La flotte Musulmane de Cordoue lance l'assaut sur les côtes Catholiques de Léon et Asturies ! Montant vers le nord, elles déposent un millier de soldats du côté de Coimbra, puis lance une série de pillage sur les côtes Espagnoles, et finissent pas déposer deux centaines de cavaliers au nord-ouest du pays adverse. Ces deux cents cavaliers lance de nombreuses razzias partout dans les territoire Catholiques, descendant progressivement vers le sud, mais finissent par être interceptés par les milices locales. Elles tentent d'empêcher les pillages dans les villages et y parviennent de nombreuses fois, mais ne peuvent empêcher tous les pillages.
Les milles hommes débarqués auparavant posent le siège devant Coimbra. Le siège allait être amené à duré longtemps, et se terminera en Jctobre, par une défaite Chrétienne, et la prise de la ville, juste quelques jours avant l'arrivée des renforts Espagnols. C'est ainsi que 1.900 Chrétiens mettent le siège devant Coimbra.

Mais ce n'est pas tout. Une armée de 2.800 Arabes partent depuis Saragosse en se dirigeant vers Saint-Jacques de Compostelle, esquivant les villes sur sa route et pillant allègrement. Ils sont rapidement confrontés à 4.000 soldats Espagnols, et sont forcés de se repliés pour ne pas subir une défaite. A la fin de l'année, ils sont sortis du territoire du Léon et Asturies, gardés par l'armée Espagnole.

Pertes Cordoue : 192 soldats (112 à Coimbra, 80 au nord)
Pertes Espagnoles : 240 soldats (200 à Coimbra, 40 au nord)
Pertes Ben Afsun : 34 soldats
Pertes Pampelune : 3 soldats
Pertes Banu Quasi : Aucune

Pillages Arabes : 450 deniers

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Trois cents Arabes viennent soutenir les forces de pillage, qui continuent de descendre vers le sud, s'attaquant aux villages et aux quelques très rares caravanes de commerce qui parcourent le Léon et Asturies. Le siège de Coimbra continue, tandis que des renforts arrivent des deux côtés. Environ 1.200 Espagnols viennent renforcés les forces de siège tandis que 1.500 soldats de Cordoue arrivent pour tenter de le briser. L'action combinée de la flotte, des renforts et des forces en défense dans la forteresse obligent les assaillants à reculer et à laisser la ville aux mains de leurs adversaires.

A la moitié de l'année, soit mai-juin, une armée Bretonne arrivent au large des côtes Portugaises. Ils tentent de débarquer mais doivent faire face à une nombreuse flotte Musulmane. Une partie de la flotte doit rebrousser chemin et seuls 1000 cavaliers, 100 guerriers et 500 archers parviennent à mettre pied à terre. Ils lancent une vague de pillage dans la région et tentent de brûler tous les édifices religieux adverses qu'ils croisent. Ils tombent parfois sur des patrouilles Arabes et sur de nombreuses milices, bien décidées à combattre. Ils sont repoussés plus d'une fois mais remportent également plusieurs victoires. Leur défaite, bien qu'assurée, n'est même pas pensée par la plupart des troupes présentes, et on continue de massacrer les Musulmans, en priorité les prêtres, et à saccager puis détruire les Mosquées et autres bâtiment se voulant religieux. Les Chrétiens, quant à eux, ne sont nullement agressés et deviennent, la plupart du temps, les "chefs" de leurs villages, où la religion Chrétienne est réinstaurée comme religion dominante et obligatoire. Mais ces espoirs ne sont que de courtes durées car les forces Musulmanes potées en défense sur les côtes convergent vers le Portugal, et les milices ont tôt fait de reprendre les villages. Finalement, les Bretons quittent les côtes adverses, les bras chargés de trésors et plus pieux que jamais auparavant.

Dans la région de Samora, on signal de grandes razzias orchestrées par les troupes Omeyyades. Ils errent sans but réel parmi les terres Chrétiennes en pillant et brûlant les villages, massacrant sans vergogne les civils ou les prenant comme esclaves pour s'en servir comme boucliers humains contre les milices ou juste comme butin de guerre. Ils ne sont rapidement plus considérés comme de véritables hommes se battant pour le Dieu tout puissant par les Chrétiens, mais aussi par les Musulmans, qui dédaignent cette armée de pilleurs qui provoquent des massacres et bafouent Allah seulement pour vaincre leurs adversaires.
Une armée Chrétienne est levée d'urgence pour soutenir les milices de la région et on parvient à repousser les pillards, qui retournent dans les territoires de Cordoue, leur honneur irrémédiablement ternit.

Enfin, dans le nord, on assiste à une grande bataille entre les forces Chrétiennes et Musulmanes. Les deux camps reçoivent des renforts et les Espagnols sont mis en infériorité numérique face à leurs adversaires. Ils vont néanmoins à la bataille et, coup de théâtre, remportent la victoire. Les tactiques utilisées par les Musulmans s'étaient révélées payantes au début, car extrêmement bien pensées, mais elles furent déjouées par l'intervention des milices locales, bien décidées à ne pas être vaincues. Les soldats Omeyyades sont ainsi forcés de reculer encore une fois, ayant infligés de lourdes pertes à leurs ennemis.

Pertes Arabes : 467 soldats à Coimbra, 78 soldats dans la région de Samora, 64 soldats au portugal, 630 soldats dans le nord.
Pertes Espagnoles : 541 soldats à Coimbra, 40 soldats dans la région de Samora, 623 soldats dans le nord.
Pertes Bretonnes : 109 soldats au Portugal, 80 soldats morts en mer.
Pertes Ben Afsun : 14 soldats
Pertes Pampelune : 32 soldats
Pertes Banu Quasi : 9 soldats

Pillages Arabes : 630 deniers
Pillages Espagnols : 210 deniers (récupération de pillages adverses)
Pillages Bretons : 810 deniers

Risque élevé de disette dans le sud de l'Espagne, risque moyen de disette au Portugal, risque moyen de disette dans le nord-est de la péninsule Ibérique (aux alentours de la frontière entre Espagnols et Musulmans).

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Les Musulmans adoptent une tout autre politique lors de leurs pillages. Ils ne s'attaquent désormais qu'aux religieux et aux nobles, privant le clergé et la noblesse de leurs terres. Ils épargnent les prêtres, tandis que les nobles refusant de distribuer leurs biens au peuple sont tués. Plus de 2.600 Arabes prennent alors la route du nord depuis Coimbra, dans le but d'affronter les restes des forces Espagnoles dans la zone. Les Arabes, en territoire ennemie et faisant face à la motivation et à la détermination des hommes du Léon et Asturies, auraient du perdre, si la tactique mise en place par leur général n'avait pas eu un grand effet sur l'affrontement. Finalement, la bataille n'est remporté ni par l'un, ni par l'autre camp.

Des navires Omeyyades déguisés en navires civils se dirigent vers un port Breton dans le but de provoquer un incendie en faisant brûlé leurs navires, mais cette manoeuvre est bien heureusement déjouée. Une quarantaine d'hommes parviennent à s'éparpillés dans la nature tandis que les dix autres sont fait prisonniers par le Royaume des Deux-Cornouailles.
Au Portugal, on signal l'arrivée de nombreux vaisseaux de guerre Bretons. Ils s'attaquent directement à la flotte Musulmane, tandis que surgissent les navires Espagnols, portant secours à leurs alliés Bretons. La flotte de Cordoue est vaincue dans cet affrontement de grande ampleur, et les soldats Bretons débarquent alors, emportant avec eux de nombreuses armes et des Evêques. Ils arment tous les Chrétiens désirant se battre et envoient les Evêques convertir les Musulmanes au Christianisme Celtique, tandis que les Mosquées sont systématiquement pillées et brûlées et les Imams pris en otage, puis envoyé à Rome en tant qu'otages de la foi Chrétienne. Ils sont vite à plus de deux milliers de soldats Arabes, mais ces derniers sont en sous-nombre face aux milices Chrétiennes et aux soldats adverses. Ils sont forcés de reculer tandis que les villas et bâtiments politiques Musulmans sont pillés et que les représentants du pouvoir de l'Emirat sont pris en otage et envoyés par navire en Bretagne. Les Bretons ayant terminé leur oeuvre dans la région fuient l'arrivée de renforts armés et des milices Musulmanes, retournant en Bretagne les bras chargés de trésors.

Au nord enfin, les soldats Musulmans se battent contre les Espagnols encore une fois. Mais cette fois, les renforts Chrétiens n'ont pas le temps d'arrivés, et les Espagnols sont défaits, ouvrant la route du nord aux forces Arabes. Quelques mois après, alors que les envahisseurs progressaient en terre Chrétienne, les six cents soldats dépêchés par l'Italie et les renforts du Léon et Asturies permettent une victoire possible contre les envahisseurs de l'Islam.

Pertes Arabes : 512 soldats au nord de Coimbra, 47 pilleurs, 183 soldats au portugal, 599 soldats dans le nord.
Pertes Espagnoles : 509 soldats au nord de Coimbra, 650 soldats dans le nord.
Pertes Bretonnes : 147 soldats au Portugal.
Pertes Ben Afsun : 15 soldats
Pertes Pampelune : 12 soldats
Pertes Banu Quasi : 21 soldats
Pertes Italiennes : 34 soldats

Pillages Arabes : 490 deniers
Pillages Bretons : 540 deniers

Cet acte est impardonable l'Anglecynn appelle tout les peuples Catholique a se mobiliser contre les barbares et les Païens. L'Anglecynn a lui même envoyer des troupes protéger l'Espagne

Le Royaume de Bretagne décide d'envoyer une aide au Roi du Léon pour protéger les intérêts des chrétiens en Espagne.

L'Italie envoie un petit contingent d'hommes pour soutenir la guerre contre les Musulmans. Cinq cents hommes traverseront la Provence et la Francie Occidentale pour rallier le Léon et Asturies. Pour Dieu et le Christ !