1200
La guerre de la Terre Sainte, lancée par l'Egypte Ayyoubide pour reprendre Jérusalem et Antioche, continue en cette année de grâce 1200. Dès les premiers mois de la guerre, 15.000 Musulmans marchent sur Antioche. Le Prince de cette nation décide de ne pas affronter directement les Ayyoubides et se barricade avec 1.000 hommes dans sa capitale. En même temps, 20.000 hommes arrivent plus au sud et font la même chose à Acre. Le chef de l'Ordre des Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem s'enferme lui-aussi dans sa capitale, avec environ 2350 hommes. Lorsque le siège d'Antioche est posé, 5.000 des 15.000 hommes quittent l'armée et se dirigent vers Tripoli.
1201
Le siège d'Acre dure des mois. Durant ces longs mois, les Musulmans utilisent une technique assez particulière : le jour, ils bombardent des carcasses en putréfaction dans la ville, envoyant maladies et contaminant l'eau. La nuit, ils envoient des boulets enflammés, boutant le feu à la ville, et obligeant les défenseurs à épuiser leur eau pour éteindre les feux. En plus de cela, 3.000 hommes quittent l'armée et s'en vont envahir le reste du royaume, laisser entièrement sans défense. Il ne reste plus que 17.000 assiégeants autour d'Acre, ce qui est bien assez. La ville, ainsi qu'Antioche, abdique finalement, laissant pénétrer les forces Ayyoubides. Tripoli, laissée sans défense, tombe elle-aussi.
1202
En cette année 1202, la Terre Sainte est presque entièrement possession Ayyoubide. Ce ne sont pas moins de 20.000 hommes qui prennent deux directions différentes. 10.000 se dirigent vers Beyrouth et 10.000 vers le Krak des Chevaliers. A Beyrouth, il n'y a que 900 miliciens prêts à défendre la ville. Les soldats Musulmans leur font la proposition de pouvoir rentrer chez eux sans les tuer. Ils acceptent. Au Krak néanmoins, ce ne sont pas moins de 4.000 miliciens qui ont réussit à se barricader à l'intérieur. Les derniers soldats Catholiques refusent la proposition Ayyoubide et refusent d'écouter ce qu'ils ont à dire. Le siège est alors poser.
1203
Le siège suivit son court normalement. Durant toute une année, la forteresse tînt bon. Les miliciens profitèrent même de leur position pour tirer et utiliser des armes de siège, affaiblissant l'armée ennemie. Mais ce ne fût pas suffisant, et le Krak tomba en Septembre.
Ayyoubide : -500 soldats.