Guerre de revendication pour la Cornouailles (900-902)

900

Au début de l'année, quatre centaines de cavaliers Angles lancent des raids à la frontière entre la Cornouailles et l'Angelcynn, dans le but évident de s'attaquer à la production de matière première et aux installations militaires. Les champs de tir à l'arc et d'entraînement sont brûlés mais, rapidement, les milices locales endiguent ces raids et repoussent les attaquants à la frontière. Alors, plus d'un millier d'hommes en arme lancent un assaut sur le pays Celte de Cornouailles et prennent possession des villages frontaliers, avant de mettre le siège devant la première ville qu'ils rencontrent, à quelques kilomètres de la frontière. Le siège, qui commence en Août, dure toujours à la fin de l'année, tandis que l'ost Celte se rassemble péniblement dans la capitale pour préparer une contre-attaque.

Pertes Angles : 45 cavaliers
Pertes Celtes : 72 milices

Pillages Angles : 30 deniers

901

Tandis que le siège de la ville précédente prend fin en Janvier, et que l'armée continue de progresser en pillant vers la capitale, une autre armée de mille huit cents hommes prend la route la plus directe vers la capitale, dans le but d'y arriver au plus vite, avec des béliers et autres armes de siège. Ils établissent un siège, le temps de préparer l'assaut, qui à lieu une semaine après. Les pertes sont extrêmement élevés du côté Angle, mais la ville tombe la soirée venue. Elle est pillée par les soldats, épuisés et énervés par cet assaut. Le reste de l'armée continue de battre les campagnes dans le but de garder le contrôle du pays et de vaincre les résidus de l'armée adverse.
Mais tandis que tous ces événements arrivent, en fin Février, mille six cents soldats Bretons débarquent sur les côtes Angles et Celtes. La plus grosse partie s'en va harceler la progression Germaine et soutient les Celtes dans leurs combats, tandis que quatre cents se battent derrière la frontière adverses, et se chargent de piller et de détruire les villages qu'ils trouvent.
S'engagent alors une série d'escarmouches dans toute la Cornouailles entre la première armée Angles et les armées Celtes coalisées. Globalement, aucun vainqueur ne se démarque réellement lors de ces escarmouches qui ont lieues à travers toute la Cornouailles, tandis que le reste des soldats Angles surveillent la capitale adverse et pilles les alentours.

Pertes Angles : 618 soldats (418 dans la capitale, 200 dans le reste de l'armée)
Pertes de la Cornouailles : 206 soldats
Pertes Bretonnes : 82 soldats (En Cornouailles)

Pillages Angles : 52 deniers
Pillages Bretons : 40 deniers

902

Cette année, mille six-cents Angles se rendent en Bretagne dans le but de soutenir les armées en place. Les escarmouches s'intensifient encore, tandis que la totalité de la flotte Bretonne fait voile avec à son bord trois milles hommes destinés à renforcer l'armée de Cornouailles et, à sa tête, el Roi Alain Ier lui-même. Mais les Angles pratiquent une interdiction navale de la zone et tentent tant bien que mal d'empêcher les adversaires de débarquer. Quelques hommes finissent noyés dans les profondeurs de la mer mais, globalement, la quasi-totalité arrivent en Cornouailles. Ils débarquent au plus près de la capitale, tandis que le reste de l'armée fait route vers celle-ci, poursuivit par les Angles. Attaqués par les cavaliers Germains, les deux colonnes progressent péniblement, et rallient la capitale à la moitié de l'année. Plus de deux milliers d'hommes posent le siège, tandis que la totalité de la cavalerie Bretonne tente de patrouiller dans tous les alentours pour empêcher l'arrivée de quelconques renforts ; vaine tentative, car les armées Germaines tombent sur les arrières des troupes faisant le siège, tandis que les Angles à l'intérieur de la ville assiégée font une sortie. Les cavaliers, avertis par une patrouille, lancent également l'assaut. Finalement, les Celtes sont repoussés, au prix de lourdes pertes.

Pertes Angles : 730 soldats
Pertes de la Cornouailles : 271 soldats
Pertes Bretonnes : 728 soldats

Le Royaume Celte de Cornouailles en appel à ses alliés du Royaume de Bretagne pour combattre ses agresseurs Angles. Il en appel également à tous les peuples Celtes du Pays de Galles, car il est important d'être unis face à l'ennemi Germain !

Après une réflexion de courte durée, la Bretagne envoi un ultimatum aux Angles leur sommant de cesser toute attaques contre la Cornouailles sans quoi elle enverra des troupes pour aider leur cousin Cornouaillais.

Le Royaume de Cornouaille a insulté le royaume d'Angelcynn alors qu'ils souhaitaient uniquement faire de la diplomatie avec eux. La Cornouaille a ramener la tête de l'emissaire Angle nous considérons cela comme une attaque !

Le Royaume Breton aide les meurtriers? Alors que nous venions en paix ! Ils nous ont trahis et leurs crimes ne resteront pas impunnis!

Le Royaume de Bretagne à cœur d'aider ses frères bretons de Cornouailles. Nous demandons à ce que les angles quittent immédiatement les terre celtes sans quoi nous intensifieront notre aide à la Cornouailles.

Nous avons envoyé un emissaire diplomatique avec des présents tout ce que nous avons recu est la tête de notre emissaire ! Nous ne pouvons laisser passer cela

La Cornouailles ni ces accusations infâmes...

Evidemment la Cornouaille n'a aucune parole !

Ni les Angles, qui en sont à mentir pour excuser l'attaque de la Cornouailles. Le peuple Celte se battra jusqu'au bout pour combattre la tentative de conquête Germaine !

Toute la partie Sud du Mur d'Hadrien appartient a L'Anglecynn n'oubliez pas cela Cornouailles ! Et nous demandons aux Bretons de laisser ce conflit aux terres Anglaises

Vous autres Angles, vous êtes des envahisseurs, vous avez forcé par la guerre a de nombreux bretons de fuirent leur foyer pour ce réfugier en en Armorique et petit à petit fonder le Royaume de Bretagne tel qui est. Vos revendication sont illégitime, l'Albion est au Bretons et a nul autre, l’Écosse est au Pictes et l'Irlande aux Scots. Cessez vous même les hostilités et peut-être nous vous laisserons les territoires que vous habitez déjà.

N'êtes vous pas satisfait car sans nos actions vous ne seriez pas Roi, nous ne sommes pas des envahisseurs nous prenons ce qui nous appartiens

Je suis peut-être Roi, mais par la guerre vous avez conquis une partie de l'Albion, par la guerre nous vous en expulserons.

La Bretagne propose une paix Blanche à l'Anglecynn.

L'Anglecynn accepte a contrecoeur