Un pour tous, tous pour un

"Peuple du monde, voyageur solitaire, hommes libres. Aujourd'hui plus que jamais les chrétiens font preuve de la plus grande couardise de l'histoire, ils nopus attaquent même après une proposition de paix et prétendent la vouloir, mais il ne souhaite que la mort, la mort de ceux qui ne suivent pas leur sois-disant envoyé de dieu. Car oui le saint-père n'est qu'un homme, aussi faible qu'un autre qui se terrent derrière les civils croyant en lui, où est son pouvoir ? Car oui il a fuit, comme un rat prit au piège devant la furie d'Allah. Peuple opressez, soulevez-vous, les latins ont assez prouvés leur volonté de tout diriger, et nous avons prouvé la faiblesse de leur sois-disant dieu ! Vous avez tous été opprimés messieurs, vous qui ne croyez-pas les dires de ces belliqueux êtres soulevez-vous, sortez vos armes et battez-vous, pas au nom d'une religion, d'un pays, mais au nom des peuples, des peuples humains oppressés ! Pour la liberté je vous demande de vous battre, peuple de cette terre !"

Oui ! Musulmans ! Soulevez-vous contre ceux qui détruisent les tombes de votre prophète, et crachent sur le Coran ! Soulevez-vous contre vos chefs !

Nous, en Egypte, nous protégeons vos lieux de Culte comme nous ne protégeons même pas vos Eglises. Nous nous assurerons que votre foi puisse être pratiqué. Vos propres Roi ont renié Allah et prétendent aujourd'hui le défendre ? Quels fous sont-ils ?

Ne tentez plus ce genre de choses Empereur, vous ne respectez rien vous-même, vous êtes belliqueux, et c'est tout ! Avouez-le, vous ne voulez simplement que contrôler ! Où est cette fois sois-disant lors qu’entre frère vous vous battez ? Le tombeau du prophète est un endroit sacré, mais cette endroit est plus que cela, il se trouve au plus profond de chacun d'entre nous, dans nos cœurs !

Balivernes ! Vous cherchez des excuses et vous vous cachez derrière vos actes d'hérésie ! Musulmans ! Cessez de vous soumettre à pareil hérétique, il n'hésite pas à détruire ses propres lieux saint pour conserver son trône !

Mon pauvre vous perdez la raison... Je ne suiz guère l'Empire Ayyoubides mon pauvre...