Invasion du Gwent (907)

907

En cette année 907 après Jésus-Christ, 1.200 cavaliers Angles traversent la frontière avec le comté de Gwent sans déclaration de guerre et démarre l'invasion du pays. Ils pillent les villages et s'emparent des quelques mottes féodales qu'ils rencontrent. Lorsqu'ils arrivent à la capitale, une motte féodale légèrement mieux défendue que les autres, le Gwent parvient péniblement à réunir sont armée, et les milices de la région sont enfin levées, malgré la très grande rapidité des cavaliers adverses. Ainsi, plus de six centaines d'hommes en arme et plusieurs centaines de milices affrontent les cavaliers adverses devant la capitale du Gwent. Le fait que les envahisseurs n'est rien d'autre que des cavaliers à opposer aux archers, aux piquiers et aux hommes d'armes adverses contribue largement à la victoire des forces en défense, forçant les cavaliers Angles au recul.

Pertes Angles : 231 soldats
Pertes Celtes : 187 soldats, 130 milices

Pillages Angles : 45 deniers

Le Roi indique aux Angles qu'il est indigné par cette attaque des angles contre le Gwent et appelle a la cessation d'hostilité, sans quoi il considérera cela comme une déclaration de guerre aux Deux-Cornouailles.

Le Roi envoi aussi une missive au pape portée par l'abbé de Redon lui demandant de nommer l’Évêque de Kemper-Corentin comme représentant le Saint-Siège pour une demande de cessassions immédiate des hostilités entre le Gwent et l'Anglecynn. Même sans cela l’Évêque de Kemper-Corentin s'interposera avec sa suite entre les armées Celtes et Angles.

Nous demandons aux deux Cornouaille de se meler ce qu'il lui regarde !

Indique au Roi des Angles, que tout ce qui touche a la Celtie concerne tous les peuples celtes.

Nous indiquons au Deux Cornouaille que nous possédons un droit de revendication de toutes les terres Romaines d'Albion

Nous répondons au Roi d'Angelcynn que les Deux-Cornouailles ont fait une promesse a tout les peuples Celtes concernant les invasions extérieurs aux-dits peuple et que le Roi tiendra sa parole envers ses frères.

Nous répondons a la Bretagne que nous lui avons déja laissé la Cornouaille

Tous les celtes sont frère de sang, quelques soient les différents les opposent. Nous pourrions être unis contre les païens, mais vous choisissez de faire la guerre a des chrétiens au lieu d'éliminer avec ou sans notre aide la menace la plus pressante, les viking du Danelaw et de l'Est-Anglie.

Très bien nous retirons nos troupes mais ne vous avisez plus de nous menacer