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 Rapport de Guerre, Année 1236

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2 participants
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Califat Toulounide
Duc
Califat Toulounide


Messages : 246
Date d'inscription : 02/08/2012

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MessageSujet: Rapport de Guerre, Année 1236   Rapport de Guerre, Année 1236 Icon_minitimeVen 28 Sep - 14:33

Il faut que l'on se soutienne pour cette guerre. Aussi, je prend le risque de vous dévoiler mes rapports et de vous montrer ma façon de faire. Cela vous permettra de voir l'intégralité de mes actions, et d'agir en conséquence (j'espère qu'il n'y a pas de traitres chez nous...). Je dirige la force Byzantine pour cette année, il n'aura pas le temps de poster ses ordres. Sam, c'est important que tu lises tout, même le point sur le SERG. Après tout, je suis obligé de faire de longs ordres si je veux qu'Espé perde, désolé :S


Rapide point sur le SERG


a) Les pertes et l'instabilité

Le SERG a commencé la décennie avec 3385 Deniers, et en levant 70 000 dès 1131, il est donc parti avec un déficit de -10615 Deniers. En détruisant la Lombardie, Espé a récupéré 1550 Deniers, ce qui porte sont déficit à -9065 Deniers. Cependant, il a aussi perdu 44 700 hommes depuis le début de la guerre, et sachant qu'il recompose ses effectifs à chaque guerre, on peut donc affirmer qu'il en est à - 18005 Deniers de déficit. Ce qui est proprement énorme, et c'est sans compter les cadeaux, pots-de-vins, versements qu'il a fait à différentes factions ! A cette perte, nous devons ajouter les pillages commis par la France en 1335 et 1336, mais aussi les pillages Rus' depuis le début de la Guerre. Globalement, l'ensemble de l'Ouest, la totalité du Nord-Est, une partie du Sud-Est, une partie du Nord, une partie du Sud et toute la Lombardie, ont perdu une totale capacité de financement. La population de ces endroits n'a plus rien à bouffer et doit crier famine. Sur une carte du SERG, cela donnerait ça (en rouge les zones détruites par la guerre) :

Spoiler:

La moitié du SERG a été ravagée ou au moins touchée par la guerre. Donc les créanciers qui accorderont des prêts à Espé sont de plus en plus rares, et sa stabilité descend en flèche. Normalement, la population ne devrait plus soutenir cet excommunié de Frédéric II bien longtemps. Espé crie peut-être qu'il est entrain de gagner parce qu'il récupère des territoires à droite à gauche, mais dans les faits, son pays faiblis d'année en année. S'il ne s'en est pas encore rendu compte, tant mieux, alors messieurs, ne lui dites pas le contraire ! De plus, il perd trop d'hommes, plus de la moitié de son armée est constituée de jeunes recrues sans expérience. Un bon point pour nous.

b) Pourquoi l'armée du SERG n'est pas la légion romaine

Espé a convaincu Sam qu'il avait recréé la légion romaine et qu'il avait donc une armée surpuissante et très disciplinée. Pourtant, plusieurs points montrent la faiblesse structurelle de ses troupes :

- Piquiers : Soldats en cotte de maille armés de longues piques et de pavois.

Citation :
Il dit pavois, mais au vu de son modèle, je pense plutôt qu'il parlait des boucliers hemicylindriques romains, qui sont malheureusement pour lui, en bois lamellé et recouvert de cuir, et donc largement transpersable par les arbalètes modernes. Un tel bouclier déjà lourd, ne peut pas être en fer, sans quoi il serait impossible à utiliser en combat au corps à corps. Mais là encore où il se trompe, c'est qu'il ajoute à ses soldats de longues piques. Donc quoi ? Ses soldats manient d'une main un gros boucliers d'1m20, et de l'autre une longue pique ? En supposant qu'ils y arrivent, ce n'est pas du tout le principe de la légion romaine. Ce que décrit Espé, c'est le principe d'une phalange grecque. De lourds guerriers avançant coude à coude de manière rigide, la pique en avant. Et je vais citer l'historien grec Polybe qui compara les formations romaines et les phalanges grecques :

"L'utilisation de la phalange nécessitait un terrain plat sans aucun obstacle.. Si l'ennemi refusait de venir au contact sur ce type de terrain.. Quelle était l'utilité de la phalange ? De plus, le soldat de la phalange ne peut pas opérer seul ou en petites unités à la différence de la formation romaine très flexible. Chaque soldat romain peut s'adapter et combattre un adversaire venant de n'importe quelle direction. Comme la formation romaine est tellement supérieure, leurs plans de batailles ont toutes les chances de rencontrer le succès."

Les Romains étaient équipés de javelots (pas anti-cavalerie, mais à lancer), et de glaives pour le combat rapproché. En l'état actuel des choses, n'importe quel fantassin arrivant à passer la rangée de piques, se retrouve donc au corps à corps avec ses piquiers, qui n'ont même pas d'arme courte pour se défendre. Dans tous les cas, pourquoi la légion romaine a disparu ? Une des raisons, c'est l'utilisation terriblement efficace de la cavalerie contre elle, ce qui a conduit à utiliser de plus en plus de cavaliers lourds, puis des chevaliers... c'est le début du Moyen-Âge.

- Archers de Cavalerie Impériaux : Inspirés des archers de Cavalerie Mehariste Arabes, les archers de cavalerie impériaux sont équipés d'un arc court de cavalerie, d'une rondache, d'un glaive et d'une cataphracte légère.

Citation :
La force de son peuple, c'est normalement de disposer de chevaliers et d'hommes d'armes lourds, qui sont faits pour "défoncer" les lignes adversaires en encaissant la plupart des coups. Mais depuis deux ans de guerre, il a décidé de former ses impériaux à l'utilisation à cheval d'arcs (et pas d'arcs composites, je doute qu'il en possède). En plus de devoir apprendre ce genre de manœuvres auxquelles les impériaux ne connaissent rien, ils doivent composer avec le fait qu'ils ne disposent pas de la technologie nécessaire à ça. Autant dire que ses unités ne doivent pas être très efficaces. Et même si les romains utilisaient parfois des archers de cavalerie, ces unités étaient constituées de barbares habituées, et non pas de romains...

- Ingénieurs de siège : Ingénieurs spécialisés dans la construction d'armes de siège

Citation :
Espé essaye de reproduire l'utilisation que les romains auraient fait des armes de siège durant une bataille classique. En effet, dans de nombreuses batailles, particulièrement vers la fin de l'Empire, les Romains utilisaient des armes de siège comme les balistes ou les onagres en préparation du combat. Ces machines tiraient des traits ou des pierres sur les formations ennemies. Et même si de nombreux historiens s'interrogent sur l'efficacité de telles armes, il faut bien prendre en compte une chose : Soit les ingénieurs construisent sur place les engins, ce qui leur prend du temps (des heures) avant chaque bataille. Soit les armées se baladent avec les engins de siège déjà construits, et donc il est impossible qu'Espé se déplace aussi rapidement sur la carte.

- Archers longs : Équipés de petites armures de cuir légères, de casques à nasal, d'une épée courte et d'un arc long, ils ne sont pas fait pour le corps à corps. Leste et agiles, ils préfèrent envoyer d'imposantes volées de flèches sur leurs ennemis.

Citation :
Ici, il fait comme moi, il essaye de copier les archers longs anglais. Cependant, il ne dispose pas de ce genre d'arc, dont le maniement nécessite une vie de pratique. L’arc long est utilisé en 1216 par les troupes anglaises lors de l’invasion de l’Angleterre par le futur Louis VIII de France, donc cela m'étonnerait qu'il en possède en germanie. Ce doit donc être un arc plus classique de l'époque, capable de tirer à 200m, sans pour autant pouvoir traverser les armures. Autant dire que l'on est loin de l'efficacité des troupes anglaises pour ce genre de manœuvre. Pour ma part, j'utilise l'arc composite pour mes unités d'archers à pieds. C'est déjà bien plus efficaces.

Voilà, tout ces points montrent qu'Espé n'a pas recréé l'armée romaine, qui de toute façon est dépassée de nos jours, mais une armée proprement inefficace comparé à ce qu'il avait avant.


Les actions de mes armées


a) Offensive contre la Bohème

1ère Armée d'Attaque
76 650 soldats dont...:

A cela, nous devons ajouter les troupes polonaises et teutonnes nous accompagnant. J'ai cependant prélevé 3000 cavaliers nomades sur cette armée qui participeront à l'offensive au Danemark ci-dessous.

La Bohême a trahi, malgré mes menaces la concernant si elle osait entreprendre ce genre d'action. Mon armée va donc se déplacer en direction de leur territoire, en veillant bien à ce que les cavaliers nomades partent en éclaireurs et nous informent du moindre mouvement de troupes et/ou embuscade. Pour être plus précis, 1 000 cavaliers nomades sont dispersés sur nos arrières en groupes de 10. 2 000 cavaliers nomades sont dispersés sur nos deux flancs en groupes de 10. Et 1 000 cavaliers nomades sont envoyés vers l'avant, en groupe de 10, suivit en seconde ligne de 3 000 cavaliers nomades répartis en groupes de 500 qui eux commenceront à piller la région, bruler les champs et exécuter sans vergognes le moindre opposant. Bien sûr, l'ensemble des cavaliers nomades refusera les affrontements directs. Ils utiliseront, comme d'habitude, leur tactique de harcèlement et de tir/retraite.

Carte globale du déplacement:

Nous longerons la rive sud du fleuve Ohře, passant donc par les villes d'Egra, Sokolov, Kadaň, Žatec, et Louny. Le fleuve rejoint ensuite l’Elbe à Litoměřice. Sur le chemin, nous pillerons jusqu'à les détruire ces 6 villes. Ainsi, le château d'Egra (avec la tour noire) était un palais de l'empereur Frédéric Barberousse, et nous le réduirons en cendres. Après tout, il n'est guère imposant, il suffira de le bombarder quelques jours de puissants trébuchets. Il possède probablement de nombreuses richesses que nous garderons pour nous. Sokolov possède un petit château habité par des seigneurs locaux, les Nothaft. Là aussi, nous brulerons et pillerons ce vestige du SERG. Kadaň est une importante ville marchande, et nous profiterons de cela pour nous ravitailler en or et en nourriture. Žatec est une ville royale habitée par de puissants seigneurs et bénéficiant de nombreux avantages, mais sans château ni murailles, alors autant dire que l'on va massacrer la noblesse du coin, et surtout, nous saisir de tous leurs biens. Louny possède un fort dont le donjon est constitué d'une tour en pierre. Il nous suffira d'utiliser un bélier avec un toit couvert de bois et de peau de bête pour entrer à l'intérieur, arbalétriers et fantassins en tête, afin de massacrer la famille noble locale, et encore une fois, nous emparer de leurs richesses... Enfin, Litoměřice est une jeune ville mais dont la position stratégique, au croisement de l'Ohre et de l'Elbe, lui a donné rapidement une place prépondérante dans la région, en faisant même un évêché. Nous enverrons un émissaire à l’évêque de la région, lui demandant à qui va son allégeance, au Pape, ou à l'Empereur Romain ? Dans un cas, on pille la ville sans détruire les églises, dans l'autre, on trucide l’évêque et récupérons ses richesses.

Carte plus précise de l'affrontement:

Le SERG a détruit toutes les cités de la Lombardie en un an, avec 60 000 hommes, on ne devrait donc pas avoir de mal à faire tout cela en moins de 4 mois avec 76 000 hommes. Une fois que nous aurons passé Litoměřice, nous suivrons l'Elbe vers le Sud afin de conquérir Prague. La capitale est protégée par le Château de Vyšehrad, construit 300 ans plus tôt, et donc pas vraiment efficace contre les armes de siège moderne que nous utiliserons en masse. La ville ne disposant pas d'enceintes, nous en profiterons pour piller la ville, notamment les communautés juives et les bourgeois de la ville, tandis que le reste des forces entamera le siège. Il nous restera plusieurs mois pour conquérir la ville et nous installer dedans en attendant l'hiver.

Inutile de préciser que mes éclaireurs verront très certainement venir l'armée Bohémienne ou l'armée du SERG. Dans les deux cas, nous emploierons alors la tactique que je t'ai expliquée dans mon rapport de guerre d'avant.

b) Offensive au Danemark

2ème Régiment de cavalerie
6 000 soldats dont...:

Mon deuxième régiment de cavalerie est rejoint par 3000 cavaliers nomades prélevés sur la Première Armée d'Attaque. Ensemble, ces soldats remonteront au nord par les zones déjà pillées du SERG, et ce afin de ne courir aucun risque et de progresser plus vite, et pourront attaquer les positions allemandes au Danemark. Cependant, il faudra attendre le bon moment. Les Cavaliers Nomades enverront des éclaireurs en avant, afin de repérer les positions ennemies. Quand ces-derniers attaqueront les danois, nous profiterons de ce moment pour les prendre par derrière et leur infliger une sévère déculottée. Je précise qu'en tant que cavaliers nomades, ils utiliseront bien entendu les tactiques de harcèlement décrites de nombreuses fois dans mes rapports. Cependant, quand le front allemand commencera à faiblir, ils pourront alors charger leurs arrières, à moins que ceux-ci ne soient constitués de piquiers... Les allemands vont fuir, c'est certain, et nous pourrons les poursuivre en les exterminant petit à petit, en profitant de leur déroute.

Carte des déplacements:

c) La Guerre contre les Coumans

Comme tu t'es trompé en pensant que c'était des mercenaires et non des miliciens qui attaquaient les Coumans, je suppose que tu vas considérer qu'ils ne sont pas tous mort. Cependant, les coumans étaient maximum dans les 2000 cavaliers, tandis que mes miliciens étaient 24 000. Avec un rapport de 1 pour 12, je suppose qu'il ne doit pas en rester beaucoup. Malheureusement, moi, ce soir, je ne serai pas là, alors je vais supposer que tu auras laissé quelques Coumans en vie, dont s'occuperont 10 000 miliciens. Le reste rejoindra l'offensive contre la Hongrie. Etant donné que les Coumans sont en déroute, et qu'ils rejoignent leurs terres, nous pourrons aisément prévoir leur déplacement et les attendre au bon endroit. Un mélange d'archers et de piquiers aura certainement raison d'eux. Surtout si on les prend en embuscade.

d) Offensive contre la Hongrie

Le reste des miliciens rejoindra 2 350 soldats Rus' que nous levons pour l'occasion pour 470 Hryvna. Les miliciens et les soldats Rus' devraient donc être dans les 10 000 et rejoindront les Carpates. Le reste de leurs actions sera décrit plus en dessous avec celles des byzantins.


Les actions des armées Byzantines


a) Offensive en Hongrie

Coalition Rus/Byz
Environ 50 000 soldats dont...:

Les hongrois ont moins de 5000 soldats encore en vie, il faut en profiter. L'ensemble des 36 950 byzantins va se répartir en cinq groupes de 7 390 soldats. Les byzantins feront un usage intensif d'éclaireurs afin de déjouer les embuscades ennemies avant qu'elles n'arrivent. Dans tous les cas, il sera bien plus dur pour les hongrois de prévoir le déplacement de cinq groupes bien plus mobiles. Dans tous les cas, ces cinq armées feront route vers le Nord Est, afin de forcer les hongrois à s'enfoncer vers l'Est, vers les Carpates. Là-bas, les soldats Rus' et les Miliciens Rus', attendront afin de réceptionner les groupes Hongrois. Pour cela, ils enverront des éclaireurs afin de prévoir l'endroit par où les hongrois arriveront. Les Rus' pourront alors fortifier le point de passage avec des pieux, et se placer dans les hauteurs armés d'arcs, de lances, de pierres...

De ce fait, d'un côté les Byzantins les pourchasseront et les extermineront petit à petit, de l'autre, ils se retrouveront pris au piège par les Rus'. Petit à petit, l'étau va se resserrer autour des derniers survivants hongrois. Ce qui permettra de les exterminer. Après ça, les deux armées ne feront qu'un, et pilleront la région en se dirigeant vers l'Ouest.

carte de la manoeuvre:

b) Défense de la Sicile

Armée de Défense de la Sicile
22 110 soldats dont...:

Les Byzantins vont se réfugier dans les montagnes et forêts au sud-ouest de Messine, une ville côtière au Nord-Est de la Sicile. La ville est entourée de très nombreux hameaux, quand aux montagnes, elles font dans les 1000m de hauteurs au maximum, sont recouvertes d'épaisses forêts, et occupent une zone de plusieurs centaines de km². Les soldats se disperseront à l'intérieur en 5 groupes de 4 422 hommes, gardant en permanence contact via des messagers. Pour palier au problème de ravitaillement, les byzantins pourront profiter du pillage des centaines de villages et hameaux présents dans la région de Messine et aux abords des montagnes et forêts. Ils auront largement le temps d'explorer les montagnes et forêts qui ne comportent que peu d'habitants. Dans ces épaisses forêts et ces reliefs, les Byzantins pourront rapidement semer n'importe quelle armée à leur poursuite, et même mieux. Ils pourront préparer des pièges, des embuscades, des traquenards... et ce afin de diminuer les troupes et le moral des soldats de l'armée ennemie, tout en ayant un minimum de pertes.

Ils pourront attendre la riposte des navires Byzantins pour enfin sortir des forêts. Espé va être confronté à une vraie guérilla s'il s'aventure en Sicile.

c) Riposte en Anatolie

Armée de Défense de l'Anatolie
12 600 soldats dont...:

Les armées romaines sont moins de 7000, il est donc temps de passer à l'offensive. Pendant un an, les byzantins ont réalisé embuscades sur embuscades, ce qui a dû les habituer à ce genre d'affrontements mais aussi considérablement saper leur moral. Nous allons profiter de notre connaissance du terrain, mais aussi du soutiens de la population pour infliger un coup décisif aux germains. Ainsi, nous devrons prévoir le déplacement de ces soldats, pour cela nous emploierons autant des éclaireurs que la population locale qui pourra nous informer de leur position. A partir de là, il faudra rapidement se rendre dans un bourg Byzantin par où ils ont l'intention de passer, et se préparer à les recevoir avec l'aide de la population. En effet, les soldats du SERG ont bien besoin de se ravitailler, et en l'état actuel des choses, ils ne peuvent le faire que sur la population...

Dans le bourg, des soldats, déguisés en civils simuleront la panique et fuiront dans la ville tandis que les soldats germains débarqueront pour piller et prendre de la nourriture. A ce moment là, le piège se refermera. Les Byzantins déguisés se retourneront et attaqueront les germains, tandis que de tout côtés, d'autres soldats sortiront des maisons et des ruelles annexes pour encercler les forces du SERG. Des fenêtres et des toits, la population pour lancer des pierres, accompagnés des soldats byzantins tirant à l'arc ou à l'arbalète. Bien entendu, des piquiers contiendront les armées du SERG à l'intérieur du bourg, et ce afin d'en tuer un maximum.

d) Attaque Navale contre la Sicile

Désolé Marcus, je ne suis pas vraiment un expert du bateau... Enfin bon, on va essayer !

En plus des bateaux de guerre que nous utiliserons pour anéantir la flotte vénitienne, nous allons également ajouter à cela de plus vieux bateaux de guerre qui ne sont plus en service. Ces bateaux seront transformés en brûlots. Non seulement nous pourrons nous en servir pour enflammer la flotte vénitienne quand elle est dans les ports siciliens, mais surtout, nous pourrons nous en servir en pleine bataille navale. Par exemple, voici une tactique, qui nécessite un vent de dos, en plus des rameurs.

Phase 1:

Les rangées de bateaux byzantins (en rouge) avancent ainsi, afin que seuls les premiers bateaux ne soient touchés par les tirs ennemis (en noir). Les premiers bateaux de ces rangées seront des brulots. Les brulots seront équipés avec de grandes plaques en bois sur l'avant, le fait que le vent aille dans notre dos, empêchera les flèches en feu ennemies d'enflammer nos Brulots (pour qu'un feu se déclenche sur un bateau, il faut que le vent pousse le feu vers le bois).

Phase 2:

Une fois suffisamment près des ennemis, le capitaine de chaque brulot ordonnera la mise à feu du bateau, et évacuera le bateau en question. Grâce au vent et à l'élan donné par les râmes, les brulots fonceront alors vers les bateaux les plus à bâbords de la ligne adverse. Pendant ce temps là, les bateaux byzantins commenceront à foncer sur le côté, droit vers l'ennemi. Comme ils auront le vent dans le dos, cela leur donnera une belle poussée. La fumée dégagée par les brulots devraient en plus piquer les yeux des quelques bateaux au centre de la ligne adverse.

Phase 3:

Les brulots rentreront dans les bateaux ennemis tandis que le reste de la flotte pourra commencer à tirer des projectiles sur les bateaux ennemis, et préparer l'abordage. Les ennemis ne devraient pas pouvoir se replier face à cela, nous aurons plus de vitesse.

Phase 4:

Enfin, les bateaux byzantin pourront transpercer les bateaux ennemis par le côté (en fait en oblique pour être exacte) et passer à l'abordage. Cela nous permettra de récupérer des bateaux endommagés qui serviront aux prochains brulots. Pour les ports par exemple.

Dans tout les cas, peu importe la tactique, il faut toujours tirer des flèches ou carreaux enflammés quand on a le vent dans le dos. Cela attisera les flammes.




Voilà voilà, ça fait 4h que j'écris ça, j'en ai un peu raz les cacahuètes ! Je ne serai pas là ce soir, même si vous avez des remarques, je doute que je puisse modifier quoique ce soit à temps. France, si tu joins tes troupes à celles d'angleterre, tu devrais pouvoir tenir face à l'allemand.
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Royaume d'Ecosse
Roi
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MessageSujet: Re: Rapport de Guerre, Année 1236   Rapport de Guerre, Année 1236 Icon_minitimeVen 28 Sep - 20:46

Nous rappelons que la Lorraine et les Territoires du Roy de Naples jsute au dessus ont été envahit par le Roy de France.
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