1233En cette an de disgrâce 1233, une guerre qui mobilisera sans doute toute l'Europe fut déclenchée. Les armées Impériales, avec l'armée Hongroise, lance immédiatement l'assaut en Rus', tandis que les Rus' lancent des cavaliers pillards. Les deux groupes se rencontrent en territoire Hongrois après un bon mois de pillages et une seule bataille suffit à sonner la défaite Rus'. Les soldats Impériaux continuent mais ils sont interceptés dans les Carpates, l'ennemi les ayant repérés grâce à des éclaireurs. Les cavaliers nomades du Rus' utilisent leur technique de harcèlement durant un petit moment, mais la grande taille des armées Impériales fait qu'il est dur de l'attaquer. Le passage dans les montagnes est difficile pour les envahisseurs et ils se retrouvent face à trente milliers de soldats ennemis. Ils lancent alors l'assaut et tentent d'utiliser la tactique prévue mais, dans les montagnes, il est très difficile de l'appliquer. En outre, les Rus' semblent au courant de leurs tactiques et de leur plan et sont placés de la meilleure manière pour bloquer l'ennemi. La bataille est rude, la tactique Rus' est excellente mais la très large supériorité numérique et les armes Impériales mènent la vie dure aux défenseurs. Finalement, les Kievois s'enfuient. Quelques jours plus tard, une nouvelle bataille à lieu, sonnant une nouvelle victoire Impériale. Mais les pertes provoquées par ces batailles sont extrêmement violentes pour les deux camps.
Au sud, les quelques survivants Coumans se révoltent contre le roi de la Rus'. Ils libèrent tous les esclaves possible pour renforcer leur armée et lancent un assaut sur Pereyaslavl. La milice locale est levée d'urgence mais elle est balayée par les Coumans, qui se réclament de nouveau un peuple indépendant. Au nord, les Finnois lancent des assauts sur la partie Scandinave du territoire Rus'. Cela se limite au début de l'année à des pillages puis, en Juillet, à l'invasion pure et simple de la partie ouest du territoire. L'armée Rus' intervient et reprend les territoires perdus.
Sur le territoire Impérial, des pilleurs Rus' passent par la Pologne pour attaquer l'Empire. Ils saccagent tout sur leur passage, mais ne tuent pas la population. Après eux passent les armées Polonaises, qui envahissent un bout du territoire du Saint-Empire.
En Sicile, la flotte Byzantine établie le blocus des ports Impériaux. Elle affronte la flotte ennemie et remporte les victoires grâce à sa supériorité évidente. En plus de cela, quelques 12.000 mercenaires débarquent en Autriche. Ils se font tout d'abord passer pour des mercenaires des Cités Lombardes en route pour le front mais sont bien vite découverts. Ils décident de se replier et prennent la côte au sud-est de l'Autriche, à côté des Etats Pontificaux, après avoir affronter une partie de l'armée locale.
A l'ouest, les Prêtres prêches la bonne parole, et celle-ci va contre l'Empereur. Dans les Citées Lombardes notamment, de nombreux religieux se dressent contre le tyran Impérial. Les armées Lombardes et Papales marchent alors sur Naples qui, sous blocus Byzantin, ne peut plus rien faire et tombe rapidement. Ils lancent alors la conquête de la Sicile et toute une bande de terre à côté de la frontière Papale tombe, au profit de ce dernier. Les Luxembourg, de leur côté, lancent l'invasion de l'Autriche, aidés des Chevaliers Teutoniques ; celle-ci, déjà affaiblie par les mercenaires Rus', ne peut résister à l'assaut et ploie sous le nombre des rebelles.
Encore plus à l'ouest, la France passe à l'attaque. Les armées royales et l'OST attaquent la Bourgogne, la Lorraine et la Lotharingie, le tout simultanément. A la fin de l'année, la résistance des milices est brisée et la moitié ouest de ces régions sont capturées. Tous les résistants sont pillés et tués. Finalement, au nord, les possessions de la maison Wittelbach dans la zone sont attaquées et prises par les armées Anglaises.
Pertes Rus' : 14.900 soldats dans les Carpates, 2.000 soldats au nord, 1.800 cavaliers nomades, 1.850 mercenaires.
Pertes Impériales : 21.000 soldats dans les Carpates.
Pertes Françaises : 4.000 soldats, 3.000 miliciens.
Pertes Polonaises : 900 soldats.
Pertes Finnoises : 2.700 soldats.
Pertes Coumanes : 600 soldats.
Pertes Anglaises : 550 soldats.
Pertes Lombardes : 400 miliciens.
Pertes Papales : 210 soldats.
Pertes Lotharingienne : 1.800 miliciens.
Pertes Bourguignonnes : 2.500 miliciens.
Pertes Lorraines : 1.300 miliciens.
Pertes Bohêmiennes : 2.100 miliciens.
Pertes Autrichiennes : 3.500 miliciens.
Pertes Danoises : Aucune.
Pertes Norvégiennes : Aucune.
Pertes Bulgares : Aucune.
Pillages Rus' : +240 Deniers.
1234La guerre se concentre cette année en Italie. Les armées Germaines se replient et s'attaquent à Venise sur le chemin du retour. Les milices s'organisent et l'armée tente de repousser l'envahisseur mais, immédiatement, l'armée tombe. L'Empire Romain rétablit immédiatement le pouvoir commercial de la cité-état, qu'elle avait avant que Byzance ne coupe les liens. Vingt milles nouveaux hommes, fraîchement arrivés, font de même à Pise. Les deux armées se rejoignent ensuite et attaquent en Lombardie qui, défendue uniquement par de la milice, se fait massacrer. Chaque cité est invariablement pillée et la population massacrée. Puis elle se rend à Rome et en Sicile, pour reprendre les terres perdues. Face à eux se trouvent les armées Lombardes, Papales et même Byzantines. Trente milles Byzantins attaquent l'île mais, face à soixante milliers de Germains, l'espoir est vain. La partie ouest de la Sicile et les Etats Pontificaux tombe aux mains de l'Empire, Naples comprise, tandis que l'est devient Byzantine. Immédiatement, des révoltes éclates dans les deux camps ; dans les Etats de l'Eglise, des milliers de personnes sortent dans les rues et attaquent l'armée. Le Pape excommunie l'Empereur et prêche la Croisade contre lui.
A l'intérieur même de l'Empire Germain, les pilleurs et les mercenaires Rus' continuent leurs pillages. Mais la Bohême fait un brusque retournement de veste, se déclare état indépendant et détruit les armées Rus' en leur tombant dessus par derrière. Des milliers de mercenaires et de cavaliers nomades meurent car ils sont passer devant les armées Bohêmiennes en pensant voir des alliés. La Pologne, elle, n'est pas concernée par tout cela et continue d'envahir des territoires de l'ex Saint-Empire, mais attaque également la Bohême, en souteint à ses alliés Rus'.
Au sud, les armées Impériales de la Terre Sainte attaquent l'Anatolie et la Cilicie. Dix milliers de soldats, très entraînés et vétérans grâce à la dernière Croisade, envahissent toute la part sud de l'Anatolie et la Nouvelle-Arménie. Quelques six milles miliciens sont levés en toute hâte et placer partout sur les territoires attaqués mais ces tentatives sont vaines. La Cilicie tombe totalement à la fin de l'année.
En Hongrie, les dix milliers de soldats Hongrois se mettent en place pour protéger le front Bulgare. En Juillet, une armée Byzantine et Bulgare se présente sur le territoire Magyar ; l'armée de ce dernier utilise alors les fameux cavaliers Magyar et leurs techniques de harcèlement pour affaiblir l'ennemi. Ils tendent moult embuscade et ralentisse fortement les Byzantins. Au nord, les Danois trahissent leur Suzerain et lancent l'assaut sur la partie nord de l'Empire avec trois milles fiers soldats. Les milices sont levées mais, en sous-nombre, elles perdent. Une petite région tombe aux mains de l'ennemi.
La France, de son côté, continue de progresser en Bourgogne, en Lotharingie et en Alsace. Les Impériaux se battent avec l'énergie du désespoir mais ne pourront pas tenir indéfiniment...
Et enfin, les Rus' lancent l'assaut sur les Coumans. Ces derniers on fait brûler la ville et on massacrer les habitants avant de la quitter et de partir piller les autres terres de leurs ennemis. Les mercenaires donnent la chasse à l'armée ennemie, relativement petite du fait de l'extermination de leur peuple, et bloquent de nombreuses tentatives de pillages. Finalement, le gros de l'armée est pris en embuscade, et le reste se replie.
Pertes Rus' : 3.700 mercenaires, 2.000 cavaliers nomades.
Pertes Impériales : 9.800 soldats dans le SERG.
Pertes Françaises : 2.400 soldats, 1.380 miliciens.
Pertes Polonaises : 900 soldats.
Pertes Coumanes : 6.300 cavaliers.
Pertes Anglaises : 340 soldats.
Pertes Lombardes : Toute l'armée est détruite.
Pertes Papales : 1.200 soldats.
Pertes Lotharingienne : 3.100 miliciens.
Pertes Bourguignonnes : 1.600 miliciens.
Pertes Lorraines : 700 miliciens.
Pertes Bohêmiennes : 810 soldats.
Pertes Autrichiennes : Toute l'armée est détruite.
Pertes Danoises : 120 soldats.
Pertes Norvégiennes : Aucune.
Pertes Bulgares : 1.100 soldats.
Pertes Byzantines : 2.450 soldats en Hongrie, 6.100 miliciens en Cilicie et en Anatolie, 6.190 soldats en Sicile.
Pertes Hongroises : 3.100 soldats.
Pillages Rus' : +300 Deniers.
Pillages Français : +430 Deniers.
1235Coup de tonnerre ! Gênes rejoint l'Empire Romain. Des flottes brandissant les pavillons Gênois et Pisans transportent des armées Impériales et Gênoises jusqu'en Corse et en Sardaigne et envahissent les îles. Les armées Byzantines ne peuvent tenir le choc en Sardaigne et se replient en Sicile, tandis qu'en Corse, la population locale se dresse contre l'envahisseur. Les combats sont rudes, les actions de guérillas nombreuses ; néanmoins, les Impériaux progressent plus de jour en jour. L'île est presque sous leur domination à la fin de l'année. En Sicile même, une autre armée Germaine passe à l'assaut mais cette fois, les armées Byzantines sont là pour les stopper. La population locale se soulève alors pour soutenir l'Empereur de Rome et combat Byzance. La flotte Vénitienne parvient à abattre la flotte Byzantine lors de plusieurs batailles autour des principaux ports de Sicile ; la technique utilisée compense très largement l'avantage ennemi et la flotte Byzantine doit se replier. Les armées à terre sont privées de ravitaillement.
Les armées Byzantines et Bulgares continuent leur progression en Hongrie. Les courageux Magyars continuent leurs techniques de harcèlement et leurs embuscades mais la progression ennemie est inéluctable.
A Byzance, la flotte Vénitienne poursuit la flotte Byzantine mais un sérieux revers l'attend. Le reste de la flotte ennemie jaillit des ports et vient porter secours à leurs alliés. Les Impériaux doivent à leur tour se replier vers la Sicile.
Au sud, en Cilicie et en Anatolie, les armées Byzantines, appuyées par des mercenaires, s'emploient à chasser les envahisseurs Germains. Grâce à leur connaissance du terrain ils parviennent à blesser l'armée ennemie lors de multiples petites escarmouches. Mais cela ne suffit qu'à stopper la progression des envahisseurs et il reste encore à reprendre le territoire perdu.
Enfin, plus au nord, une armée Germaine nouvellement formée attaque les possessions Danoises. Cinq milles Impériaux prennent et pillent les possessions Danoises et sont aidés par les Norvégiens, qui trahissent leur Suzerain et l'attaque au nord, tandis que l'armée Danoise envahie les terres appartenant directement à Frédéric II plus au sud. L'armée Rus' et l'armée Anglaise se déploient et prennent toutes les terres de l'Empereur au nord. Les armées de Frédéric continuent leur progression au Danemark en vivant sur le pays.
La Bohême prend parti de l'Empereur et attaque les possessions Polonaise dans l'Empire. Ces dernières tombent vite grâce au soutient de la population et les troupes Rus' se retrouvent isolées en territoire ennemi. Les Germains se soulèvent et de violentes répressions s'ensuivent. En outre, les pilleurs Rus' continuent impunément leurs actions et réduisent toujours plus la richesse de Frédéric II.
La guerre contre les Coumans se déroule bien. Les mercenaires Rus' continuent de détruire l'armée Coumane qui, trop peu nombreuse et mal organisée, ne peut rien faire contre eux. Elle est totalement détruite peu avant l'hiver.
Les armées Françaises de Bourgogne partent vers le nord et balayent la Lorraine, qui ne peut résister sous cette masse de renforts. Les armées Françaises font la jonction au mois d'Août et reprennent l'invasion de la Lotharingie. Celle-ci, déjà presque vaincue, est elle aussi balayée et totalement envahie par la France. Malheureusement, le Comte de Toulouse, le Comte de Barcelone et le Roi d'Aragon se lancent dans une guerre contre le Royaume de France. Ils reprennent toutes les anciennes terres du Comte de Toulouse grâce aux Cathares, qui combattent à leurs côtés, et proclament la fondation du Royaume Cathare.
Pertes Rus' : 2.350 soldats dans l'Empire Romain, 700 mercenaires.
Pertes Impériales : 6.500 soldats en Sicile, 2.100 en Sardaigne, 1.900 en Corse, 200 au Danemark, 3.200 en Anatolie.
Pertes Françaises : 900 soldats, 1.200 miliciens.
Pertes Polonaises : 1.100 soldats.
Pertes Coumanes : Toute l'armée est détruite.
Pertes Anglaises : 410 soldats.
Pertes Lotharingienne : Toute l'armée est détruite.
Pertes Bourguignonnes : Aucune.
Pertes Lorraines : Toute l'armée est détruite.
Pertes Bohêmiennes : 700 soldats.
Pertes Danoises : 400 soldats.
Pertes Norvégiennes : 110 soldats.
Pertes Bulgares : 990 soldats.
Pertes Byzantines : 3.050 soldats en Hongrie, 2.400 soldats en Cilicie et en Anatolie, 7.890 soldats en Sicile.
Pertes Hongroises : 2.900 soldats.
Pillages Rus' : +230 Deniers.
Pillages Français : +110 Deniers.
1236Sur le front nord, au Danemark, les généraux Danois organise la population en milices. Ils brûlent les champs et les villages, en emportant le maximum de provisions, et se barricadent dans les places fortes du royaume. L'armée Germaine arrive alors et se retrouve confrontée à une farouche résistance de la part de l'ennemi. Ils mettent en place des sièges qui risquent fort de durer longtemps, mais c'était sans compter sur l'arrivée de renforts Rus' ; des cavaliers nomades qui utilisent leur célèbre technique de harcèlement pour décimer les troupes ennemies. Néanmoins ces dernières possèdent un avantage : de grands boucliers. Ils s'organisent pour échapper aux meurtrière flèches ennemies. Pendant ce temps, plus au nord, les Jarls Norvégiens et leur nouveau roi font une percée. Une armée Danoise arrive et combat l'ennemi mais ce dernier est trop nombreux et les renforts doivent se replier. Au nord de la Norvège, 2.000 autres soldats débarquent et se dirigent prestement vers Oslo, forçant les envahisseurs à se replier.
Pour briser les attaques Rus', Polonaises et Teutonnes, dix milles hommes se joignent aux armées Bohêmiennes. Ces dernières on imitées les tactiques Danoises et on rapatriés le maximum de personnes et de vivres dans les places fortes du pays pour le défendre mais n'ont pas oser brûler ce qui reste, les paysans ne voulant pas perdre toute une vie de travail. Les attaques ennemis se concentrent sur les villes de Egra et de Cottbus, dans un premier temps. Cottbus se défend bien mais Egra tombe après 3 durs mois de siège. Vient ensuite le tour de Sokolov où la milice a put être organisée. Les Rus' ne parviennent pas à percer les défenses du château et doivent mettre en place le siège. Cottbus tombe finalement en Septembre et vient ensuite le siège de Dresden.
En Hongrie, le Roi s'enfuit avec ses troupes et sa cour. Ils se rendent en territoire Impérial, utilisent les navires Vénitiens et se rendent à Rome, qui est prise d'assaut par de nombreux Pèlerins. Ils brisent l'assaut en attaquent les envahisseurs par l'arrière et rejoignent le nouveau Seigneur de la ville.
En Sicile, les Byzantins se replient au sud de Messine et se dispersent en plusieurs groupes. Les Germains reprennent toute la Sicile insulaire et tente de reprendre l'autre partie mais les Byzantins tendent de nombreuses embuscades. La flotte Byzantine arrive pour leur porter secours mais les flottes Pisannes et Vénitiennes leur coupe la route. C'est le début de la plus grande bataille navale de l'histoire. Les deux flottes utilisent massivement la technique du brûlot. Les flottes Italiennes emploient des balistes à carreaux enflammés pour bouter le feu aux navires ennemis, tandis que ces derniers tentent de se rapprocher le plus possible pour utiliser des arbalètes à carreaux également enflammés. La bataille est meurtrière, et les deux tentent d'être les premiers à aborder l'ennemi. Les flottes finissent totalement décimées à cause des flammes et les deux doivent se replier.
En Anatolie, les armées Germaines se mettent en défense dans les places fortes capturées. Aucune attaque Byzantine n'est signalée cette année.
Finalement, 3.400 hommes Germains attaquent la Lotharingie pour la reprendre aux mains de l'envahisseurs. L'OST est affaiblit par le départ des forces Bretonnes et de quelques seigneurs Aquitains, mais la France parvient à défendre ses terres.
Dans le Royaume Cathare, la majorité de la population qui est Catholique se soulève et brûle les Cathares, pendant que des mercenaires Français attaquent. Le Royaume est incapable de contenir toutes ces attaques. Au sud, les renforts Germains et Gênois, transporter par la flotte de ces derniers, sont stoppés par la flotte Française. Celle-ci utilise des technologies navales Norvégiennes et Suédoises, ce qui lui permet d'augmenter considérablement sa force. Ils utilisent des brûlots et tentent de couler le plus de transports possible. Les Français perdent mais infligent de nombreux dégâts aux armées ennemis. Lorsqu'elles débarquent, elles se retrouvent confronter à plus de trente mille mercenaires, tandis que l'armée Française de Lotharingie se replient pour les prendre par derrière. Les Germains ré-embarquent sur les navires Gênois et se replient vers la Sicile. Pendant qu'ils se replient, une autre armée Gênoise et Impériale reprend la Bourgogne et attaque Nice. Les Teutons ne peuvent la défendre et elle tombe bien vite.
Dans le nord, le Duc de Bretagne et les Ducs d'Aquitaine étant revenus utilisent leurs troupes pour attaque le Roi. Les vassaux encore fidèles et n'ayant pas rejoint l'OST lèvent leurs propres armées pour affronter les traîtres.
Et enfin, les armées Anglaises continuent leur progression dans le nord du territoire Impérial sans rencontrer de réel opposition, si ce n'est le peuple Germain. Mais ce dernier, dans le nord, se soulève contre l'Empereur : ils ne veulent plus ni combattre, ni payer pour une guerre sans issue. Dans le sud, en Italie principalement, les citoyens s'arment pour se préparer à repousser les assauts ennemis.
Pertes Rus' : 8.900 soldats en Bohême.
Pertes Impériales : 2.100 soldats en Sicile, 1.600 soldats au Danemark, 7.300 soldats en Occitanie, 300 soldats en Bourgogne.
Pertes Françaises : 800 soldats, 3.000 miliciens, 5.800 mercenaires.
Pertes Polonaises : 950 soldats.
Pertes Anglaises : 190 soldats.
Pertes Bourguignonnes : Aucune.
Pertes Bohêmiennes : 4.600 soldats.
Pertes Danoises : 350 soldats au sud, 900 soldats en Norvège.
Pertes Norvégiennes : 870 soldats.
Pertes Bulgares : Aucune.
Pertes Byzantines : 1.200 soldats en Sicile.
Pertes Hongroises : 400 soldats.
Pillages Rus' : +550 Deniers.
Pillages Germains : +320 Deniers.
1237En Bohême, Sokolov et Dresden tombent. Les troupes Rus' et Polonaises se rejoignent et, ensemble, elles assiègent Kadaň, Žatec, et Louny. Les trois villes ont été désertées par les Bohêmiens, bien que la plupart de la population soit encore là et se batte pour sa liberté. Finalement, le siège est installé autour de Litoměřice, la capitale du pays. Les armées Bohêmiennes et Germaines se battent avec l'énergie du désespoir mais, face à l'incroyable masse d'hommes ennemis, la ville tombe. La Bohême est perdue.
Sur le front Danois, 4.000 hommes en arme, accompagnés de 6.000 Rus', brisent les sièges. L'armée Romaine, privée de la possibilité de replie, se fait littéralement massacrée.
En Sicile, la flotte Byzantine vient porter secours à ses hommes. Ces derniers commencent à reprendre la Sicile Insulaire, lentement mais sûrement, tandis que l'armée Germaine recule. Certains soldats commencent à faire défection, à cause du fait qu'ils ne sont pas payés et qu'ils manquent de nourriture. Les désertions sont de plus en plus nombreuses et l'armée doit se repliée. La même chose se produit en Anatolie, mais de manière moindre, car le Djihad contre l'Empire Byzantin est annoncer par le Calife Ayyoubide ! Une armée de libération composée de 45.000 hommes en arme et 10.000 miliciens attaquent les territoires Turcs. Au fur et à mesure de leur progression là-bas, ils annoncent le Djihad. Les Turcs ne sont pas réellement enthousiasmer, du fait de la liberté du culte, mais estime qu'ils se doivent d'écouter le Calife Ayyoubide, le commandeur des Croyants. Amida, Alhat et Erzurum tombent au profit des Musulmans. Bonne nouvelle néanmoins, les armées Germaines sont chassés par les Byzantins.
Les nombreux coups de tonnerres ne s'arrêtent pas là. Alors que trois cents Celtes débarquent en Bretagne pour soutenir le Duc, ce dernier est assassiné par le général Celte ! Celui-ci est immédiatement tuer par les autres généraux, mais ces trop tard ; le Duc est mort. Durant ce temps, les armées Françaises pacifient l'Aragon, l'Aquitaine et la Bretagne, pillant tous les rebelles. La France est pacifiée à la fin de l'année, mais de nombreuses révoltes paysannes ou nobles éclatent encore aux quatre coins du pays. Un groupe de soldats s'en va également piller l'Empire Romain.
Les Cités Lombardes et le Vatican, du moins ce qu'il en reste, se soulèvent à leur tour. Les Cités Lombardes prennent leur indépendance vis-à-vis de l'Empire.
Finalement, au nord de l'Europe, en Norvège, la victoire revient clairement aux Danois, qui capturent Oslo et détruisent l'armée ennemie. Mais sitôt la Norvège intégrée au Danemark, sitôt les révoltes éclatent en terre conquise.
Pertes Rus' : 7.000 soldats en Bohême, 950 soldats au Danemark.
Pertes Impériales : 4.000 soldats en Sicile, Toute l'armée au Danemark, 6.500 soldats en Anatolie.
Pertes Françaises : 1.300 soldats, 300 mercenaires.
Pertes Polonaises : 340 soldats.
Pertes Anglaises : Aucune.
Pertes Bourguignonnes : Aucune.
Pertes Bohêmiennes : Toute l'armée est détruite.
Pertes Danoises : 1.100 soldats au sud, 1.000 soldats en Norvège.
Pertes Norvégiennes : Toute l'armée est détruite.
Pertes Bulgares : Aucune.
Pertes Byzantines : 4.900 soldats en Anatolie.
Pertes Hongroises : Aucune.
Pillages Rus' : +1.800 Deniers.
Pillages Français : +800 Deniers.
Pillages Danois : +410 Deniers.