Reconquête française (1210-1212)

1210

Le Roi Philippe-Auguste, agacé de la présence Anglaise, se décide finalement à entrer en guerre contre l'envahisseur Anglois. Immédiatement, l'Anjou, la Touraine et le Maine se rallient au Royaume de France, trahissant leur Suzerain d'outre-Manche. Une partie de l'armée Royale, comptant 4.000 hommes, est dépêchée là-bas, ayant pour but de soutenir les milices des trois comtes. Dans le même temps, une armée de dix milles hommes se dirige vers Rouen, où elle tombe face à quatre milles soldats Royaux et autant de miliciens, qui défendent vaillamment la ville. Les français tentent de l'encercler, mais une unité de cavalerie légère Anglais harcèle bien les troupes assiégeantes, et deux catapultes finissent par être enflammées. Malheureusement, cela ne suffit pas, et la ville subit un siège, long et difficile. Il est compliqué de s'emparer de la Seine, car au moins deux milles miliciens défendent le port fluvial, voulant maintenir à tout prix le ravitaillement, et la grande cavalerie française a bien du mal à combattre la guérilla que les milices leur oppose.

En Aquitaine, au mois d'Août, lorsque l'on apprend ce qui c'est passé, on lève à la hâte trois milles miliciens pour tenir les frontières. Des raids sont organisés contre le Duc de Toulouse, mais les pillages sont mis en échec par l'armée Ducale.

A la fin de l'année, le siège de Rouen dure toujours, et les miliciens de la Seine résistent courageusement, grâce à leur bonne connaissance du terrain, tandis que le reste du pays semble attendre la tempête.

Pertes françaises : 120 soldats d'infanterie, 135 archers, 187 cavaliers, 42 servants d'arme de siège.
Pertes anglaises : 276 soldats
Pertes Ducales Normandes : 193 miliciens
Pertes Ducales Toulousaines : 71 miliciens
Pertes Ducales Aquitaines : 89 miliciens

Pillages français : +180 deniers
Pillages Aquitaines : +110 deniers

1211

Normandie :

Au début de l'année, on apprend à Rouen, grâce au transport fluvial toujours actif, qu'une armée composée de neuf milles Anglais fait voile vers le continent. Ils débarquent au nord des positions françaises, dans le but évident de prendre l'armée adverse à revers mais, après être débarquée et après avoir installer son premier camp provisoire, l'armée Anglaise est attaquée. Un petit groupe d'une vingtaine d'hommes tentent de bouter le feu au camp, et ils sont pris en chasse par les Anglais. Pendant les minutes chaotiques qui s'ensuivent, une trentaine de soldats infiltrés depuis le débarquement tuent les gardes Royaux en permanence du côté de la tente et essayent d'enlever le Roi. C'était sans compté sur la vitesse de réaction d'un survivant, qui fait venir des renforts. Le Roi est utilisé comme bouclier Humain, mais les cavaliers agissent vite pour rattraper les kidnappeurs. Durant l'escarmouche, Jean Sans Terre est égorgé par les infiltrés.
Sire William, le jeune forgeron récemment anoblis que le Roi avait tenu à emmener sur le continent, prononce un discours cinglant devant les 9.000 soldats de l'armée. Il les convaincs de poursuivre la lutte, en l'honneur de feu Sa Majesté Jean, et prend le commandement des troupes.

Arrivés à Rouen, ils lancent l'attaque sur les arrières des français, tandis que les soldats réfugiés dans la ville tentent une sortie. Un cercle fermé est formé autour de l'armée adverse mais, alors que les renforts avancent, ils tombent dans des fosses. Les français les avaient creusées, avaient mis des pieux dedans et les avaient cachés avec des feuillages. De nombreux Anglais sont happés par ces trous à morts, mais William lance un appel, ordonne à ses hommes de reculer, et ordonne d'avancer en rang éparse et en marchant, en tâtant le terrain avec sa lame ou sa lance avant d'avancer. L'astuce marche assez bien, et a pour effet de stresser encore plus les français, qui commettent des erreurs. Aucune retraite n'étant possible, ils se battent avec l'énergie du désespoir et font de grands ravages parmi l'armée Anglaise, mais ne peuvent gagner contre 17.000 soldats bien entraînés. Les français se replient donc vers Château Gaillard.

Aquitaine :

Dans divers comtés Anglais de France, on signal des pillages orchestrés par des petits groupes de soldats français, dispersés un peu partout. Ils attaquent surtout les convois aristocrates ou bourgeois, mais laissent les paysans en paix. De nombreux miliciens sont dépêchés dans les bois pour les traqués et les éliminés.

Flandres :

Ils ne sont pas les seuls pillards à agir : un millier de soldats Norvégiens surgissent dans le comté de Boulogne en fin janvier, et pillent tout leur soûl la capitale comtale. Loin de s'arrêtés là, ils se dirigent vers le comté d'Hesdin, pillant tout ce qu'ils peuvent sur tous les villages et les bourgades sur la route. Au début, les pillages sont faciles, peu de soldats sont présents mais, au fur et à mesure, les milices sont de plus en plus présentes, et les combats sont plus âpres. Après quelques temps de navigations, ils pillent Hesdin, et prennent alors la route de Saint-Pol. Ils continuent leurs exactions sur la route et, arrivés dans la capitale comtale, ils mettent le siège (la ville étant mieux défendue que les autres). Il faut savoir que, lorsque les Norvégiens ont commencés les pillages, le Comté de Flandres s'est soulevé contre son Roi et à prit le parti Anglais. Ils se sont contentés de suivre la route des Nordiques, annexant presque sans coup férir Boulogne et Hesdine ; seul Guines aura pu opposer une certaine résistance, vite étouffée.

Après deux semaines de siège, les troupes de Flandres viennent compléter le dispositif. Immédiatement, les Norvégiens ré-embarquent dans leurs navires et repartent vers leur pays, les cales chargées de richesses.

Maine :

Après la victoire Anglaise devant Rouen, l'armée se met en marche vers Le Mans. Plusieurs semaines de marche sont nécessaires avant d'atteindre la ville, mais le 12 Avril, le siège est mis, après plusieurs escarmouches sur la route avec les milices locales et des soldats français. Mais les Anglais ne parviennent pas à prendre le contrôle du fleuve qui passe par la ville, et le ravitaillement passe toujours ! Les Anglais, pour horrifier leurs adversaires et se vengés des traîtres, font crever les yeux et couper les oreilles des soldats faits prisonniers, et les envoient dans la nature sans provisions.

Ponthieu/Vermandois :

Une autre flotte Norvégienne arrive dans le comté de Ponthieux. Là encore, ils attaquent immédiatement la capitale comtale, qui se révèle mieux protégée qu'ils ne l'auraient crus. Il leur faudra plus de temps et d'efforts que prévu pour procéder au pillage, mais c'est finalement fait. Ils reprennent les navires vers le comté de Vermandois en épargnent tous les bourgs et les villages du comté de Ponthieu. Ils pillent sans retenus à partir du Vermandois, détruisant tout sur leur passage et épargnant seulement la Cathédrale d'Amiens. Dans le même temps, des soldats de Flandres arrivent du nord, et les milices locales peinent à contenir les deux attaquants à la fois. Là encore, quand les cales des drakkars Norvégiens sont pleines, ils font demi-tour et s'en retournent vers la mer ; mais cette fois, on leur tend une embuscade sur la route, et les pertes sont nombreuses. Un drakkar est récupéré par les français, trois sont coulés. Les autres parviennent à la Manche.

Toulouse :

Pendant les combats qui se déroulent au nord, une grande armée Ibérique contenant 13.500 soldats lancent l'assaut dans le Comté de Toulouse. Ils inondent les défenses adverses, surprises non pas tant par le nombre que par l'attaque elle-même, qui peinent à tenir. La plupart des seigneurs de la région pensent que c'est là une punition divine car ils n'ont pas suivis la vraie religion, le Catharisme. Les Comtes et seigneurs locaux se convertissent au Catharisme, tandis que la religion se répand en France, tant au sud qu'au nord. Les Ibériques, persuadés qu'ils obtiendront la victoire d'ici une à deux années, dégarnissent légèrement le front et envoient 4.000 soldats vers l'Aquitaine, pour soutenir les soldats Anglais en position là-bas.

La Manche :

La flotte Norvégienne, tandis qu'elle fuit, tombe nez-à-nez avec la flotte Danoise. Les Danois lancent immédiatement l'assaut, s'attendant à trouver leurs ennemis ici, tandis que ceux-ci sont surpris de cette attaque. Le combat naval qui s'ensuit est assez violent et indécis, mais on peut noter une victoire Danoise : ceux-ci s'emparent de plusieurs navires adverses et forces les Norvégiens à fuir prestement la Manche.

Pertes françaises : 4.785 soldats, 6.900 miliciens de tous comtés.
Pertes Anglaises : 4.955 soldats
Pertes Norvégiennes : 986 soldats
Pertes Danoises : 323 soldats
Pertes Ibériques : 1.024 soldats
Pertes Flandres : 766 miliciens

Pillages Norvégiens : +786 deniers
Pillages Danois : +440 deniers

1212

L'armée Anglaise reste stationnée à Rouen, à l'exception de 4.000 hommes, qui établissent un avant-poste à plusieurs kilomètres de la ville. Deux milliers de cavaliers contournent Château Gaillard par le nord, tandis que des cavaliers légers s'éparpillent pour servir d'espions mais sont massacrés par les français ayant le même rôle. Les quelques rescapés parlent d'une armée qui s'amasse non-loin ; par prudence, on dépêche quelques centaines d'éclaireurs, qui s'étonnent de la discipline extrême des soldats adverses. En s'approchant, ils découvrent des pantins de paille, et sont immédiatement tués par des mercenaires français. Le front ne bouge que peu en Normandie, les deux armées se tenant sur la défensive.
Mais à de nombreux kilomètres de là, les armées Germaines entrent en territoire français. Accompagnées des armées de Flandres, elles envahissant le Comté de Champagne, qui peine à résisté. Les milices levées là-bas ne suffisent pas à retenir les dizaines de milliers d'ennemis défilants. Ce sont plus ou moins 25.000 hommes qui envahissent le Comté, et l'occupent en quelques mois. Cinq mille français se dirigeant vers le nord pour libérer les petits comtés voisins des Flandres sont envoyés au début de l'année, mais ils sont interceptés dans le Vermandois, et préfèrent battre en retraite de peur d'être pris en chasse par les Germains. Les armées du Duché de Bourgogne se positionnent à la frontière, sauf un quart qui se dirige en hâte vers le Domaine Royal pour protéger la capitale. Depuis Paris, on envoie des messages à Château Gaillard pour que la garnison vienne aider à protéger la ville, mais c'est inutile, les 2.000 cavaliers Anglais interceptent les messages. La fin de la guerre semble approchée. Ce sont au moins 26.000 hommes qui marchent sur Paris de l'est et le nord.

Pire encore : les armées d'Aquitaines, renforcées par quelques milliers d'Ibériques, reprennent les Comtés d'Anjou et de Touraine, avec l'aide de la cavalerie Normande. Seul le Maine, au nord, résiste tant bien que mal. En allant s'emparer des deux comtés au nord, les armées Aquitanes et Ibériques sont tombés sur des groupes de soldats français installant des pantins de paille ou sur des armées de pantin de paille déjà plantés. Ils se font parfois avoir et donnent la charge. Les français donnent l'assaut une fois les Aquitains partis et prennent facilement Tour, Clermont, Grandmont et Limoge, mais ils sont bloqués par des mouvements populaires.
A Toulouse, les seigneurs Cathares sont défaits par les pieux Ibériques, qui massacrent tous les hérétiques, avant d'envoyer leurs armées vers le nord, et prennent d'assaut la Seigneurie de Bourbon et le Comté de Forez ; un détachement Aquitain vient les soutenir dans cette tâche. Les milices locales résistent tant bien que mal.

En Espagne, 5.000 mercenaires débarquent par navire au niveau de Barcelone et tentent de piller la ville. Les milices locales se défendent comme elles peuvent, mais l'attaque est si rapide qu'on ne peut pas lever tous les hommes qu'il faudrait, et la ville est saccagée. Les mercenaires suivent une route prédéfinie, pillent Lerida et sont stoppés à Saragosse, qu'on a fortifié pour l'occasion. Sur le chemin du retour, ils brûlent les campagnes, rasent des villages entiers et massacrent les habitants de petites bourgades diverses et variées...

En Scandinavie, la flotte Norvégienne emporte l'armée et se sépare en deux ; chaque partie veut débarquer d'un côté de la capitale Danoise. Tandis qu'au sud tout se passe bien, au nord une intervention des navires Danois rend le débarquement ardu, et plus de deux centaines d'hommes meurent dans l'action. On se dirige très rapidement vers Copenhague, en espérant que le Roi n'a pas encore eu le temps d'être alerté, et le siège et mis. Des pillages sont organisés, et des pillards battent les campagnes alentours pour nourrir les assiégeants. Dans le même temps, 5.000 Germains franchissent la frontière Danoise et occupent la Poméranie. En quelques mois, la partie ouest est prise.
Il faudra attendre novembre pour que Copenhague tombe finalement, et que le Roi se rende. Les conditions de paix Norvégiennes sont attendues par le Roi Danois, qui s'attend à perdre la Poméranie au profit du Saint-Empire.
Il est intéressant de noté une anecdote : En Norvège, on a retrouver des soldats français, sur une côte, dans les débris d'un Drakkar. Ils étaient gelés et avaient faim, on les as donc nourris et logés. Mais lorsque l'on a découvert les potions magiques qui tuent qu'ils transportaient, ils ont été accusés de sorcellerie et brûlés sur un bûcher...

Enfin, en Irlande, 6.500 Irlandais passent les frontières, où ils sont confrontés à 5.500 Anglais. Les soldats d'Irlande épargnent tous les Irlandais sur leur passage mais n'hésitent pas à tuer et à piller sauvagement les Anglais. L'armée de ces derniers, mieux organisée, tend des pièges aux barbares Celtes, organise des diversions pour prendre les armées ennemies à revers etc. Dans plusieurs endroits de l'Irlande Anglaise, des révoltes Celtes éclatent, menées par des nobles désargentés ou par la bourgeoisie locale. Certaines sont écrasées par l'armée Anglaise mais, dans le sud et le sud-ouest notamment, certaines révoltes survivent...

Pertes françaises : 3.237 soldats, 13.330 miliciens de tous comtés, 340 mercenaires
Pertes Anglaises : 432 soldats en France, 367 en Irlande
Pertes Norvégiennes : 312 soldats, 147 mercenaires
Pertes Danoises : Pays hors d'état de combattre
Pertes Ibériques : 1.784 soldats
Pertes Flandres : 1203 miliciens
Pertes Germaniques : 48 soldats au Danemark, 212 en France
Pertes Irlandaises : 383 soldats

Pillages Norvégiens : +185 deniers
Pillages Aquitains : +90 deniers
Pillages Germains : +312 deniers
Pillages Français : +500 deniers
Pillages Ibériques : +112 deniers
Pillages Irlandais : +270 deniers

Et le Roi de France démontre sa félonie par cette attaque. Après avoir voulu envahir l'Espagne chrétienne voilà qu'il veut retirer des titres légitimes au Roi d'Angleterre.

Les félons d'Anjou, de Touraine et de Maine ont trahi leur suzerain et leur châtiment sera exemplaire. Néanmoins Jean d'Angleterre peut être généreux, déposé les armes ou vous périrez dans les flammes de la Géhenne.

L'heure est à la restauration pour les Plantagenêts, il est temps pour l'Empire de retrouver son apogée !

Le Roi Irlandais déclare ne pas prendre part à cette guerre pour le moment mais tout assaut des troupes Françaises ou Anglaise sur une possession Irlandaise entraînera une entrée en guerre

Etant donné que le combat est sur le continent...

Les bateaux de commerces Irlandais traversent la manche et l'Angleterre possède une partie de l'Irlande

Les français n'ont ni les moyens ni ne sont assez fous pour tenter d'envahir l'Irlande. Quand à la Manche, nos flottes ont reçu le mot.

Très bien mais ne soyez pas présomptueuse en vos chances de victoire la France a déja montré plusieurs fois sa puissance

Que tous voit la "grandeur" de Philippe. Il préfère attaquer lâchement ses frères catholiques plutôt que d'éliminer l'hérésie Cathares.

Nous appelons le Pape à lancer une croisade contre les hérétiques albigeois. L'Angleterre est prête à participer à la croisade.

Nous demandons également l’excommunion du Roi Philippe qui a laisser l'hérésie se répandre sans agir. Nous invitons les seigneurs du sud à renier la foi Cathares et à embrasser la foi catholique.

De même nous admirons la vaillance de Philippe qui au lieu d'affronter son ennemi avec courage il se terre à Paris et envoi des assassins. Partout dans l'Empire Plantagenêt son nom est insulté et l'honneur des Capets ternie.

Le Roi maudit le Roi d'Angletterre nous l'appelerons le Roi Fourbe ! Le Roi d'Irlande vient d'apprendre qu'un navire commercial avait été attaqué par des soldats de votre couronne !

Par conséquent nous déclarons la guerre au Royaume d'Angleterre

Il est heureux de voir que les irlandais cherchent une excuse aussi pitoyable pour partir en guerre. Si agression sur un de vos navires il y a eut, alors nous ne sommes pas au courant. La France est ravagée par la guerre, le commerce y est perturbée, brigands, norvégiens, français, flamands, espagnols, anglais, rebelles angevins, n'importe qui a pu attaquer vos convois ou votre navire. Aux dernières nouvelles, le Royaume d'Angleterre n'effectue aucun blocus naval alors pourquoi nos navires se seraient attaqué à un des vôtres ? Pour le plaisir ?

Allons irlandais, cherchez une bonne excuse si vous voulez faire la guerre. Et si vous souhaitez la faire, nous serons heureux de faire taire les provocations irlandaises dans le sang.

La félonie Anglaise sera châtiée, des hommes portant la bannière de votre Royaume ont attaqué un convoi de 5 navires se dirigeant vers la Norvège

La Norvège en plus ? Croyez vous vraiment que alors que nous guerroyons en France nos navires ont la volonté d'aller en Mer du Nord là où les Danois ont établi leur suprématie maritime ? Croyez vous vraiment que si nous attaquions un de vos convois nous mettrons bien en evidence nos bannières ? Les Irlandais sont bien dupes s'ils se laissent abuser par le premier venu. Je vais envahir votre royaume en cachant mes bannières et en montrant une bannière de Bagdad, peut être les accuserez vous ?

La félonie Anglais n'est plus a prouver le Roi d'Irlande n'y peut rien si vos hommes sont bêtes a manger du foin

Vous venez d'insulter d'Angleterre, le retour en arrière n'est plus possible, l'Irlande sera écrasée, elle ne résistera pas plus qu'il y a cinquante ans.

Messires, ne versez pas le sang de vos hommes aussi inutilement. Il est évident que nous avons affaire à un complot visant à déstabiliser l'Angleterre. La Mer Baltique est actuellement contrôlée par les danois. Ceux ayant le plus intérêt à voir l'Irlande entrer en guerre contre l'Angleterre sont les français. Et les français sont alliés aux danois. Le complot est trop évident pour être ignoré. Arrêtez cette folie et annulez cet acte de guerre.

Moi, Auguste Phillipe, Roi de France, par la présente, je m'avoue vaincu. Je demande a mes ennemis d'accepter ma défaite et mes conditions. Le Royaume de France a toujour était un Grand Pays je vous demande donc de ne pas piller notre patrimoine plus que necessaire.

La France cède a l'Angleterre:
- Duché d'Acquitaine
- Comté d'Anjou, du Maine et de la Touraine
- Duché de Bretagne

La France cède aux pays Ibérique:
- Le Comté de Toulouse

La France cède a l'Empire Germanique :
- Le Comté de Flandre
- Le Comté de Pontieux et de Vermandois

Le reste des Comtés (Blois, Bourgogne, Champagne, Bourbon, Forez, Nevers, Paris) resterons Français et indépendant. De plus, nous signons un traité comme quoi la France sera neutre dans toute les guerres a venir.

Accepter vous ces conditions ?

La Bretagne n'est pas française et nous ne nous laisserons pas voler la Normandie. Ce n'est pas au vaincu de décider des conditions de paix. Surtout lorsqu'elles sont aussi illogiques.

Contrairement à vous, nous ne trahissons pas nos alliés et notre amis allemand ne vassalisera pas notre allié flamand sans son autorisation.

Le Comté de Flandres demande l'indépendance, avec l'accord de ses alliés, et les fiefs présents entre son Comté et la Normandie. Le Saint-Empire Romain Germanique demande la Bourgogne et Forez en plus du Vermandois, sa participation à la guerre ayant été plus que décisive.
Les Pays Ibérique acceptent Toulouse.

Les coalisés laissent le Royaume d'Angleterre négocier le reste des conditions, étant la cible de l'attaque.

La Coalition est parvenue à des accords, une entente a pu être trouvée. Cette proposition n'est pas discutable :

Concernant le Comté de Flandres :

- Ce dernier reçoit les territoires anciennement flamands du nord de la France. A savoir tout ce qui se trouve au Nord du Vermandois.
- Henri III d'Angleterre fera du Duc l'ancien Comte de Flandres, uniquement pour des raisons de pratiques, cela n'entrainera nul lien de vassalité. Nous invitons également le Saint Empereur à être présent.


Concernant le Royaume d'Angleterre :

- Henri III récupère tout les anciens fiefs plantagenêts et les déclare de jure membre du Royaume d'Angleterre ! Vive le Roi !
- Velay, Forez, Bourbon, Blois, Sancerre, Bourges et Dreux deviendront anglaises en réparation des dommages passées et afin de relier le Royaume d'Angleterre et le Saint Empire. Pour les 2 premiers, cela à pour but de reconstruire l'ancien duché d'Aquitaine.


Concernant les Royaumes Ibériques :

- Le Roi de Navarre sera couronné Vicomte de Blois (Blois transformer en Vicomté). Obtenant ainsi un fief pour lequel il devra vassalité avec le Roi d'Angleterre.
- Les Rois Ibériques obtiennent Toulouse qu'ils répartiront entre eux, sans ingérence extérieure.
- Les Royaumes Ibériques et le Royaume d'Angleterre signe une alliance afin de lutter contre les Cathares et d'empêcher l'hérésie de s'étendre.


Concernant le Saint Empire Romain Germanique :

- Le Saint Empereur reçoit le Duché de Bourgogne, les territoires de Vancouleurs et Langres ainsi que des territoires du Vermandois.
- A l'est, le Duché de Poméranie et de Poméralie lui seront accordé. Les possessions danoises d'Allemagne (Hambourg, ect..., non notifié sur la carte alors qu'elles lui appartiennent) reviendront à l'Empereur. Une partie du Sydanmark aussi.


Concernant les rebelles angevins :

- Les terres rebelles, leurs biens et tout ce qui leur appartenait seront confisqués par le pouvoir royal.
- Les rebelles seront trainés à Londres sous les injures de la foule avec cinquante coups de fouets quotidiens.
- Les soldats refusant de reconnaître le Roi d'Angleterre, en effet ils ont obéi par allégeance, rien de mal à cela auront les yeux arrachés, les oreilles coupés ainsi que la langue puis seront lancer sans provision sur la route. La cavalerie anglaise effectuera souvent des raids sur ce qui restera des traîtres comme entrainement.


Concernant le Royaume de France :

- Le Roi de France s'engage à la paix devant Dieu.
- Philippe II de France sera constitué en prisonnier par l'Angleterre pour : "Haute Trahison envers la Chevalerie", "Assassinat Lâche du Roi Jean" et "A causé la propagation de l'Hérésie Cathare".
- Louis VIII sera couronné à Paris sous les yeux du Roi d'Angleterre, du Saint Empereur, du Duc de Flandres et des Rois Ibères afin de lui prouver notre bonne volonté.
- Le Royaume de France payera des réparations de guerre à hauteur de 900 Deniers à l'Angleterre. En cas d'endettement il peut négocier avec le concerné.
- Les Fortifications de Dreux, Montfort et Beaumont seront abattus.

De même les accords commerciaux suivants seront rompus par la France :

- Irlande
- Byzance

Son alliance avec le Danemark est rompue.


Concernant le Royaume de Norvège :


Le Danemark devient vassal de la Norvège.
Le Nordjylland et le Midtjylland passent sous la domination de la Couronne de Norvège.
Le Roi Valdemar II renonce à sa légitimité sur les terres précitées, pour lui et sa descendance.
Le Danemark renonce à ses traités avec la France.
Le Roi Valdemar II paye un tribut de 400 deniers à la Norvège pour sa libération.
Le Roi Valdemar II paye un tribut de 200 deniers à la Norvège pour la libération de la famille Royale.
La France paye un tribut de 200 deniers à la Norvège



Et la carte : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Nous mourrons jusqu'au dernier plutôt que de signer ce traité !

Bien, nous laissons donc les vassaux français déposséder leur roi et accepter ce traité. Vos troupes sont bloquer à Château Gaillard et vous êtes encerclé à Paris. Signe Roi de France.

Si cette paix n'est pas signé, conformément à son accord avec les nations ibériques les Almohades entreront à leur tour en guerre contre le Royaume de France.

MDR !! Non allez j'arrive mon anti-jeux !

Je signe votre traité de ****

Sage décision.

[M'enfin, si tu pourrais éviter le HRP ^^]

Ou pas j'hesite a imposer ma signature