Ouverture des Négocations entre le Roi des Deux-Cornouailles et l'Emir de Cordoue

Pour commencer nous ne corroborons pas les actions menés par les tierns qui commandait mon armée au Portugal envers la population civil musulman de Cordoue. C'est pour cela, pour contenir efficacement mes troupes pendant les opération de 906 que je les ais mené en personne avec mon fils aîné et deux évêques breton. Comme vous l'avez certainement remarqué, nous ne nous en sommes pas pris aux civils musulmans et comme pour toutes guerres, sans porter atteintes à vos fidèles, nous avons néanmoins pillé vos édifices religieux. Dans le même temps nous avons pris des Iman et des représentants de votre autorité en otage. Il ne leur sera fait aucun mal si vous cessez les hostilités contre les royaumes chrétiens d'Espagne, il seront nourri et loger dans des appartements due a leur rang et seront libre de leur mouvement dans la mesure où il ne quitte pas mon palais royale de Rennes et qu'ils soient sous escorte, pour leur sécurité mais aussi pour prévenir toute tentative d'évasion. En revanche le prisonniers que nous avons fait dans le cadre d'une tentative avorté de nuire a la Bretagne seront tenu en prison sous bonne garde. Au vue de vos négociations entamée avec les royaumes chrétiens d'Espagne, nous ne tenterons plus d'attaque sur vos côtes pour au moins le temps de leurs durées. En complément de ses négociations nous proposons de rendre les otages et les prisonniers à Cordoue, sois contre une paix blanche sois contre 2000 deniers. Néanmoins nous souhaitons garder un Iman en Bretagne qui renseignera le Roi Alain Ier sur les us et coutumes musulmanes.

La Paix Blanche serait l'option la plus favorable, à condition bien entendu que Léon & Atsurie accepte. Comme précisé l'Emir ne reconnait pas les actes de ses troupes, qu'il trouve horrible. QUand au sujet de garder un Iman à Renne, L'Emir pense que cela pourrait s'avérer être plutôt positif, si cela venait à être fait dans les deux sens afin que chacun d'entre nous puisse se rapprocher de l'autre. Si l'Iman est traité comme il le mérite l'Emir accepterait, et accepterait également la présence d'un prêtre à Cordoue dans le même but, afin de rapprocher les peuples, bien que pour ceci il demande l'avis du Commandeur des Croyants, le Calife Abbasside. SI une paix venait à être conclue, puisse-t-elle durer.

Traitée de Lisbonne, première rédaction

_Paix Blanche entre les Royaumes Chrétiens d'Espagne et Cordoue.
_Libération des otages et prisonniers contres 2000 deniers.
_Présence d'un Imam auprès du Roi de Bretagne et d'un Prêtre auprès de l’Émir de Cordoue.
_Liberté de religion en Deux-Cornouailles et en Émirat de Cordoue.

Deux-Cornouailles a écrit:

En complément de ses négociations nous proposons de rendre les otages et les prisonniers à Cordoue, sois contre une paix blanche sois contre 2000 deniers. Néanmoins nous souhaitons garder un Iman en Bretagne qui renseignera le Roi Alain Ier sur les us et coutumes musulmanes.

Vous aviez donné le choix, Roy de Bretagne entre le prix à donné ou la paix Blanche, le choix était évident pour l'Emir, qui ne peut se permettre de dépenser une telle somme.

Rédaction final du Traitée de Paix de Lisbonne

_Paix Blanche entre les royaumes chrétiens et Cordoue.
_Libération des otages.
_Présence d'un Imam auprès du Roi de Bretagne.
_Présence d'un Prêtre auprès de l'Emir de Cordoue.
_Liberté religieuses en Deux-Cornouailles et en Cordoue.

L'Emir ratifie.

Le Roi promulgue le Traitée de Lisbonne.

Le Calife est heureux que les Chefs Musulmans et Chrétiens se soient mit d'accord sur un protocole de paix afin de faire césser cette guerre inutile, le Calife appuie également l'idée du Royaume de Bretagne quand à l'envoi de religieux auprès des chefs d'Etats .



Que la paix puisse régner désormais entre nos deux civilisations !

Charles III aimerait confirmation, ce traité concerne bien le principal concerné, le Léon & Asturies ?

Le Léon et Asturies n'a jamais eu connaissance de ces négociations et n'a jamais été inclue dans le traité de paix signé.

Indique au Léon au Léon que ce traitée de Paix n'est valable que si lui même accepte de signer un traité de paix blanche avec Cordoue.

Le Léon et Asturies accepte.