Diplomatie secrète du Royaume de Prusse

Ici se tiendra la diplomatie secrète du Roi de Prusse.

Frédéric-Guillaume de Hohenzollern, troisième du nom, Roi de Prusse, Electeur de Brandebourg à Louis de France, dix-huitième du nom, Roi de France et de Navarre.

Monsieur,


nous sommes résolus, avec l'empereur d'Autriche, et le Roi de Grande Bretagne, à chassé bientôt définitivement les révolutionnaires de France et de vous restaurez dans votre bon droit en votre Royaume. Aussi j'ai tenu à vous faire part des décisions qui ont été prise à la Conférence de Breslau par le St Empereur, le Roi de Grande Bretagne et moi même.
Nous attaquerons au mois de juillet 1799, avec trois armées, la première Autrichienne, aura charge de libéré l'Italie puis de pénétrer votre Royaume par le Sud, la Seconde, prussienne, y pénétrera dans par la Rhénanie, une troisième armée ira chassé les révolutionnaires des Provinces Unis et pénétrera dans votre Royaume par le Nord.
Nous vous demandons, de bien vouloir joindre les forces des princes français émigrés à la seconde armée. Qui aura pour objectif de prendre la ville de Paris. Votre Royaume vous sera rendu dans ses frontières à la date du 14 juillet 1789.

En espérant bientôt vous lire

Frédéric Guillaume III de Prusse.

Louis de France, dix-huitième du nom, Roi de France et de Navarre à Frédéric-Guillaume de Hohenzollern, troisième du nom, Roi de Prusse, Electeur de Brandebourg.

Monsieur,

Nous sommes heureux que vous soyez prêts à nous aider et à sauver la Monarchie en France. Cette damnée République détruit la fière nation Française. Votre plan nous convient, et l'armée des Immigrés vous rejoindra. Envoyez-nous une autre missive lorsque nous devrons intervenir.

Louis de France.

Votre majesté,

Nous avons, avec l'empereur d'Allemagne fixé, l'attaque à juillet de l'année prochaine, le temps de pouvoir armée nos troupes. Aussi j'attendrais les forces émigrés à Magdeburg pour la mi juin de l'année 1799.
En espérant fortement que nous pourrons tous fêter la naissance du Christ à Paris.

Frédéric Guillaume III de Prusse.

Sire,

les rebelles nous force à précipitez l'attaque, que vos troupes se rendent le plus tôt possible à Hanovre et se mette à disposition du Feld Maréchal de Brunswich, de là nous envahiront la France et vous restaurerons sur votre trône.


Frédéric Guillaume III de Prusse.

Très bien, nous nous rendons en Hanovre.