Souverains d'Europe
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 Septième guerre Russo-Turque

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Sam'
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MessageSujet: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeMar 26 Fév - 19:13

Septième guerre Russo-Turque Januar10

Contexte :

La guerre n'est pour le moment pas très avancé. Les forces Russes lancent le siège d'Ochakov au milieu de l'année, après avoir vaincu l'armée Ottomane, qui se replie. Le siège dure 6 longs mois. Le général Russe ordonne de faire le siège de la ville, et la bombarde jour et nuit sans arrêt. Ses hommes et le haut-commandement le traitent tous de lâche, mais il ne lance pas l'assaut avant Décembre. Cet assaut coûta de nombreuses vies à l'Empire Russe, mais la ville tomba.
Pendant ce temps, l'Archiduc d'Autriche, se trouvant être un fort mauvais stratège, subit toute une série de défaite face aux Ottomans. Ces derniers ravagent actuellement la Hongrie, profitant de la révolte de la noblesse Hongroise.

La guerre s'annonce sérieuse, est ne semble pas prête de se terminée...

Septième guerre Russo-Turque Front_10

Légende : Trait rouge : Front Russo-Turque
Rond rouge : Ochakov
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeMer 27 Fév - 18:07

[H.J : Pour ne pas retarder les joueurs Autrichiens et Ottomans du fait qu'Esko est un peu décalé, le rapport se fera en deux parties, une pour chaque front.]

Front Autrichien

Commandants :Troupes engagées :
Empire OttomanSultan Abdülhamid Ier
Général Mahmoud Pacha Dramali
Général Kilic Ali Pasha
5.000 cavaliers
25.000 miliciens
50.000 mercenaires
11.000 conscrits
Garde Impériale (quelques centaines de soldats d'élite)
5 navires de ligne
1 Frégates
15 galères
Archiduché d'AutricheAndreas Hadik von Futak
Friedrich von Hotze
Karl Mack
Michael Kienmayer
Giovanni Provera
Johann von Riesch
Michael von Melas
Karl Philipp Sebottendorf
Ernst Gideon von Laudon
Pal Lray
Johann von Hiller
65.000 soldats d'infanterie
30.000 miliciens Hongrois
9.000 nobles Hongrois

En Hongrie, les troupes Ottomanes se rassemblent. Pendant plusieurs jours, les groupes de pillages Ottomans se dirigent vers le point de ralliement, à Semendire, dans le sud de la Hongrie. Quelques nobles Hongrois en rébellion contre l'Archiduc donnent l'ordre aux gardes d'ouvrir les portes, ce qui fut fait ; alors, les envahisseurs entrèrent dans la ville, sur l'air de la fanfare Ottomane. Ils annoncent alors la libération de la Hongrie et la création d'un Royaume de Hongrie indépendant, autant de l'Archiduché que de l'Empire. Les quelques troupes de la noblesse se trouvant dans la ville rejoignent l'armée, qui se met en branle vers le nord. Il faut toute une journée pour préparer le départ d'une telle armée, et ce n'est qu'à la mi-Janvier que toutes les troupes parviennent à quitter la ville. Ils doivent alors parcourir 72 kilomètres, soit toute une semaine de marche. En chemin, ils sont attaqués continuellement par des nobles Hongrois refusant l'intervention Ottomane et par le peuple Hongrois, favorable à l'Archiduc d'Autriche. Les lignes de ravitaillement sont momentanément coupée, mais les Azabs Ottomans les réparent bien assez vite. Le déplacement d'une telle masse de soldat est assez rapidement problématique pour le ravitaillement, et c'est la noblesse Hongroise qui doit soutenir l'effort de guerre Ottoman. Finalement, le 28 Janvier, l'armée arrive autour de Belgrade, tandis que l'armée Impériale se trouve encore à 34 jours de marche de la ville.
La ville ne s'avoue pas vaincu, et un dispositif de siège est mis en place. Les soldats Ottomans creusent des tranchées dirigées vers la ville, dans le but d'empêcher les habitants de sortir et de pouvoir riposter en cas de sortie de la noblesse, mais aussi des tranchées dirigées vers l'extérieur, pour empêcher à d'éventuels renforts d'attaquer.

Le 29 Janvier, les nobles préparent leurs troupes et concluent une trêve avec le peuple, le temps du siège. Ils arment alors tous les hommes capables de se battre pour tenter une sortie. Un simulacre de charge est lancé par les plus faibles, qui n'auraient de toute façon aucune chance de s'en tirer vivant, pendant que les nobles profite d'une faiblesse dans le dispositif adverse pour essayer de percer et d'évacuer le plus de soldats possible. La cavalerie Timariotes des Ottomans lancent un assaut, mais la détermination de la noblesse Hongroise et de leurs cavaliers permet de les repousser. Les auxiliaires doivent déserter les tranchés, sous peine de mourir écrasés, et l'infanterie Hongroise charge ensuite, brisant l'encerclement en ce point. Les deux premières lignes Ottomanes cèdent, et l'infanterie Hongroise utilise les tranchées pour affronter l'infanterie ennemie. En clair sous-nombre, ils auraient perdu sans une nouvelle intervention de la cavalerie, qui leur permet de fuir. Les conscrits Azabs, présents en trop petit nombre, ne peuvent les retenir. Sur 10.000 soldats, seuls 3.000 parviennent à fuir, dont 120 blessés et une dizaine de nobles de tout rang, de chevaliers au duc de la région, sur cent. Incapables de soigner les blessés et ne pouvant pas les emporter dans leur fuite, ils les abattent sur place, abrégeant leurs souffrances. C'est une troupe épuisée qui fuit vers Varadin...

Après être entrés dans la ville, le 30 Janvier, le Sultan met sur place un gouvernement Hongrois indépendant avec les nobles le soutenant. Les Ottomans ne s'immiscent pas dans les affaires du nouveau Royaume et la noblesse lance un appel par message pour que les autres rebelles les rejoignent. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Les mercenaires, n'ayant pas eu leur content d'or, pillent sans vergogne la ville. Ils brûlent les maisons de ceux qui leurs résistent et volent jusqu'au dernier sous des familles. Ils passent par l'épée les pauvres vagabonds, et mettent toute la ville à sac, sans que le reste de l'armée ne puisse intervenir. Lorsque les nobles alliés aux Ottomans interviennent pour leur demander d'arrêter, ils sont envoyés sur le côté. Et le malheureux qui osa insister fut tout simplement abattu d'un coup de fusil. Alors, la noblesse s'en prit au Sultan et l'accusa de ce chaos. Ils brisèrent leur alliance et fuirent la ville, pour réintégrer l'Archiduché d'Autriche, appelant le reste des rebelles à faire de même.

Sur le plan naval, des brûlots Autrichiens lancent des raids sur les côtes Ottomanes durant tout le mois. On dénombre les attaques d'une vingtaine de brûlots au total sur les côtes de la Morée, de la Crête et de la Roumélie. Certaines ont bien heureusement pue être évitée, d'autres non. Les brûlots ont ciblés en priorité les entrepôts et les autres bâtiments économiques pour affaiblir l'Empire. Cela réussit relativement bien, et de nombreuses marchandises de prix sont perdues, ainsi que des navires de commerce.
L'Empire, quant à lui, lance un assaut de masse sur la ville de Rijeka, seul véritable port Autrichien avec Trieste. Ils bombardent toutes les installations, à commencer par celle pour produire des navires, et établissent un blocus de la ville. Les marchands Vénitiens commerçants avec l'Archiduché sont obligés de commercer désormais avec Trieste, plus loin, ce qui a pour effet d'énerver la République.

Empire Ottoman130 Timariotes
110 mercenaires
140 conscrits
50 auxiliaires
Archiduché d'Autriche7.000 miliciens Hongrois
600 civils Hongrois
91 nobles Hongrois

Ravitaillement

Hongrie (Autrichienne) : 95%
Roumélie : 100%
Hongrie (Ottomane) : 55%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeJeu 28 Fév - 14:27

Front Russe

CommandantsTroupes engagées
Empire OttomanAmiral Djemal Pacha40.000 mercenaires
10.000 Bachi-Bouzouks
15 navires de ligne
10 frégates
20 galères
Empire RusseGénéral Potemkine20.000 vétérans
30.000 Opolchenies
10 navires de ligne
12 frégates
20 galères
SuèdeGustave III de Suède
Prince Charles de Södermanland
Carl Olof Cronstedt
15.000 soldats de ligne
9.000 grenadiers

Janvier-Février 1789

Aucun mouvement de troupes n'est à signaler durant tout le premier mois. Les deux armées se regardent en chien de faïence, les vétérans Russes ayant repris du service attendant l'arrivée d'éventuels renforts, tandis que les mercenaires Ottomans ont ordre de tenir les forteresses Valaches. Sur mer, la flotte Ottomane tente de tendre un piège à la flotte Russe, qui demeure impassible ; elle a ordre de tenir les côtes et ne fera rien d'autre. Alors, après plus de trois semaines d'inactivités, les 10.000 cavaliers Ottomans montent à bord des navires et se dirigent vers l'arrière du front adverse. La flotte Russe tente d'éviter ça. En effet, elle se regroupe pour tenter d'empêcher le débarquement. Un déluge de boulet de canons s'abattent sur les Ottomans. Certains cavaliers, qui ne sont jamais aller sur des navires encore, tombent à l'eau et meurent noyés ; d'autres périssent dans les explosions. Ils ne sont que 8.000 à atteindre la côte, et une galère est envoyée par le fond ; deux sont endommagées et doivent rentrer au port avec deux mois de réparation nécessaires. Du côté Russe, une frégate et une galère sont endommagées et inutilisables avant deux mois également.

Les cavaliers parviennent à débarquer deux kilomètres derrière les lignes Russes. Ils lancent des raids permanents sur les vétérans, qui doivent s'organiser pour combattre autant à l'avant qu'à l'arrière. Les lignes de ravitaillement sont endommagées, et les Russes sont forcés de se replier derrière Ochakov pour les rétablir et chasser les Bachi-Bouzouks. Ces derniers n'étant que des levées paysannes, ils ne tiennent pas le combat et foncent pour retourner vers leurs lignes. Ils laissent une centaine de morts dans la charge, et les chevaux sont récupérés par les Russes. Mais dans le même temps, les 40.000 mercenaires Ottomans sortent des forteresses et contre-attaquent. Les Russes laissent tomber Ochakov, qui est prise en quelques jours. Ils attaquent immédiatement après les possessions autour de la ville et combattent les mercenaires, qui se retranchent dans la ville. Le siège d'Ochakov recommence...

Au nord, la Suède ne peut pas lancer de véritable assaut à cause de la mutinerie des commandants Finnois. Les soldats Russes, uniquement armée de défense, campent à la frontière en attendant une éventuelle attaque. Quelques escarmouches entre des soldats de ligne Suédois et des Opolchenies Russes sont signalées, tournant invariablement à l'avantage Suédois, sans pour autant que cela soit décisif. Mais, coup de tonnerre, l'Union Dano-Norvégienne attaque la Suède au début du mois de Mars ! Plusieurs milliers de soldats entrent en Suède depuis la Norvège et occupent quelques forteresses frontalières, préparant le reste de l'attaque.

Empire Ottoman1 galère
2.100 Bachi-Bouzouks
90 mercenaires
Empire RusseFront Ottoman : 220 soldats vétérans
Front Suédois : 310 Opolchenies
Suède190 soldats de ligne
10 grenadiers
Union Dano-NorvégienneNulle

Ravitaillement

Ochakov : 90%, ravitaillement coupée par le siège
Troupes Russes : 90%
Finlande Russe : 100%
Finlande Suédoise : 99%
Suède (Dano-Norvégienne) : 90%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeJeu 28 Fév - 21:31

Front Autrichien

Février 1789

Les armées Ottomanes passent Belgrade à sac une seconde fois, mais cette fois la brûle totalement, pour se venger de la trahison des Hongrois. Les habitants sont réduits en esclavage, et une partie des pillages sont envoyés à Constantinople. Des esclaves sont confiés aux mercenaires, tandis que 4.000 se dirigent actuellement vers la Grèce, pour être revendu sur le marché des esclaves ; 4.000 autres sont enrôlés de force dans l'armée. Suite à cela, l'armée fait route vers Karansebes. La colonne se met alors en marche après toute une journée de dure préparation, elle se met en marche. Après plus d'une semaine de route, lors d'un arrêt de nuit, des renforts arrivent et renforcent l'armée. Cette armée, énorme de par sa taille, ralenti encore son rythme d'avancée, et il lui faut plus presque 18 jours pour attendre son but, quasiment à la fin du mois. Dès le moment où ils entrèrent dans les forêts Transylvaniennes, des forces Autrichiennes lancèrent des raids éclairs. Les Ottomans tombèrent dans de nombreux pièges, et tandis que les raids et les attaquent éclaires se firent plus fréquents, l'armée dû ralentir sa marche. Elle ne parvînt pas à atteindre son objectif, qui était situé à encore 10 kilomètres, soit à moins de 2 jours de marche...
Heureusement pour l'armée Ottomane, la plupart des pertes furent des esclaves Hongrois placés à l'avant de la colonne pour encaisser à la place des soldats.

Dans tout le territoire Hongrois, des rumeurs se propagent tout le long du mois parmi le peuple Hongrois. Les nobles Hongrois s'apprêteraient à trahir à cause de la faiblesse de l'armée Autrichienne à Szeged, leur point d'ancrage principal dans la région. La noblesse Hongroise serait l'alliée des Ottomans dans une combine pour faire de la Hongrie un territoire Ottoman ! Le peuple Hongrois prend alors les armes et s'attaque à la noblesse partout dans le pays. Ils déposent ces derniers, massacrent leurs milices et détruisent leurs possessions. Ils s'approprient leurs terres et abolissent leurs titres de noblesse, au nom de l'Empereur. Dans le sud du pays, la population interrompt les lignes de communications Ottomanes, bien trop longues (comme elles passent par les ruines de Belgrade et son redirigée vers la Transylvanie, le ravitaillement parcourt 300 kilomètres ! La communication est interrompue par l'action de paysans.

Sur les mers, la flotte Ottomane attaque désormais Trieste, abandonnant l'assaut de Rijeka. La construction de navire reprend donc dans cette dernière normalement, étant donné que les dégâts sont minimes, la flotte ayant évitée de s'approcher trop près à cause des batteries de défenses côtières. Mais sitôt ceci recommencé, plusieurs navires marchands entrent dans les ports de Trieste et Rijeka et explosent. Ils étaient en réalité des brûlots Ottomans. Les autres sont abattus avant qu'ils n'arrivent dans le port, bien qu'encore deux ou trois peuvent exploser. Une frégate en construction est détruite dans l'assaut.
Les Ottomans établissent alors un blocus sur les deux ports Autrichiens.

Empire Ottoman120 conscrits Azabs
300 soldats basiques
80 auxiliaires
20 Timariotes
Archiduché d'Autriche40 raideurs Autrichiens
510 nobles Hongrois
600 miliciens Hongrois

Ravitaillement

Hongrie (Autrichienne) : 93%
Roumélie : 100%
Hongrie (Ottomane) : 35%
Armée Ottomane : 70%, ravitaillement coupé
Transylvannie : 100%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeVen 1 Mar - 12:59

Front Russe

Mars 1789

Sur mer, la flotte Ottomane donne l'assaut sur Sebastopol, dans le but de se retirer ensuite et d'attirer la flotte Russe. On se demande si le haut commandement Ottoman avaient pensé que les Russes attendraient patiemment le retrait de la flotte Ottomane pour attaquer, ou s'ils avaient pensé que les choses iraient plus vite. Il n'en est pas moins que la flotte Ottomane se retrouve bloquée entre le port et les quelques navires présents à l'intérieur et les navires Russes, venants de toute la mer noire pour contre-attaquer. En mauvaise posture, la flotte Ottomane perd une frégate dans l'assaut, et un navire de ligne subit de nombreuses avaries. Les Turcs sont forcés de se replier sur leurs ports.
Durant ce temps, des navires de transports débarquent près de 100.000 hommes sur les côtes, à 1 kilomètre environ d'Ochakov. Un tel débarquement ne passant pas inaperçu, les vétérans Russes se replient sur l'arrière, vers la Crimée. Les cavaliers Ottomans les harcèlent tout au long de leur replie, tandis que les Bachi-Bouzouks s'attaquent au ravitaillement. Mais grâce à leur discipline de fer, les vétérans parviennent à rallier la ville la plus proche en territoire Russe. Les soldats Ottomans, alors en énorme nombre, mettent un long moment à se préparer et à partir, et l'énorme colonne en marche se trouve être très lente. Les mercenaires désobéissent aux ordres et partent en Crimée avant les autres, pour piller la zone. Ils sont alors combattus par de nombreux Opolchenies Russes, qui tendent des embuscades aux mercenaires. Ces derniers parviennent à piller quelques villages mais doivent vite se retirés et rejoindre le reste de l'armée, qui préfère s'arrêtée temporairement et envoyer des espions, pour savoir que faire le mois prochain.

Des informateurs Ottomans rapportent que les Russes tentent de couver toute leur partie de la mer noire en dépêchant des navires un peu partout. Mais les récents assauts ont fait bien du dégât parmi la flotte...

Sur le front nord, les Suédois se replient du front Russe et se dirigent à marche forcée vers la zone d'invasion Dano-Norvégienne. Ces derniers progressent lentement mais sûrement en territoire ennemi, et étendent la ligne de front à toute la frontière Suédo-Norvégienne, empêchant les Suédois de défendre correctement. Ces derniers forment une ligne de défense à peu près au centre de leur territoire, longue de plusieurs kilomètres, et préparent la contre-attaque.

En mer Baltique, on assiste à un assaut de la flotte Suédoise sur les bâtiments adverses. Plusieurs affrontements navals, bien souvent en seul-à-seul entre deux navires, tournent à l'avantage Suédois, confortant ces derniers dans leur contrôle de la Baltique, jusqu'à ce que la flotte Russe n'intervienne avec les Dano-Norvégien. Préférant évité une défaite sûre, les navires Suédois se replient dans les ports, pour les défendre en cas d'attaque ou de blocus.

Empire Russe20 Opolchenies
SuèdeAucune
Union Dano-Norvégienne1 frégate
Empire Ottoman : 140 mercenaires

Ravitaillement

Crimée : 100%
Armée Ottomane : 95%
Finlande Suédoise : 100%
Suède (Dano-Norvégienne) : 91%
Finlande Russe : 100%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeVen 1 Mar - 13:55

Les actes de barbarie Ottoman à l'encontre du peuple de Hongrie sont inadmissibles, l'Empereur envisageait la paix, mais ces actes l'ont définitivement détournés de ce chemin ! Désormais Constantinople en flamme sera la récompense à la clé de cette guerre !


Dernière édition par Habsbourgs d'Autriche le Ven 1 Mar - 18:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeVen 1 Mar - 14:04

Il est clair que se servir de la Sublime Porte à des fins personnels pour vous débarrasser des puissants nobles magyars est beaucoup plus honorable. Sachez que la guerre n'est pas le pays des rêves, si vous ne supportez pas les inconvénients de la guerre quitter le pouvoir et retirer vous en ermite pour méditer. Quoi qu'il en soit, les autrichiens sont tombés bien bas. Massacrer sa propre noblesse tout cela car cette dernière réclame une union personnelle. La Sublime Porte vous a tendu la main pour une paix et pour que vous gériez vos problèmes intérieurs et que trouve à faire "l'honorable" archiduc ? Cracher sur la bonne volonté ottomane.

Cela fait plus d'un an que la guerre est chez vous, croyez que juste car l'archiduc est en transe que cela changera ? Nous appelons une dernière fois les autrichiens à la raison, signez une paix.
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeVen 1 Mar - 23:02

Front Autrichien

Mars 1789


Les Ottomans fuient en feignant une débâcle vers la Valachie ; ils n'ont d'ailleurs pas vraiment besoin de feindre. Les pertes sont sévères et le harcèlement constant n'arrange rien à cet état de fait. Les armées Ottomanes pillent et rasent tous les villages qu'ils traversent, mais cela n'est pas suffisant pour assurer le ravitaillement, définitivement coupé par l'armée Autrichienne. Les Ottomans passent la majeure partie du mois à fuir et à se replier sur la Valachie, mais avec le harcèlement constant et le manque de nourriture, en plus de plans et de missives découverts par les soldats faisant état de la situation désespérée de l'armée, plusieurs milliers de Bachi-Bouzouks et de mercenaires désertent.
Arrivée en Valachie, la moitié des troupes repartent immédiatement vers la Bosnie, mais ils ne peuvent accomplir qu'une petite partie du trajet avant d'établir un campement, le soir de 31 Mars.

A Constantinople, un groupe de mercenaires déserteurs se présentent devant le Sultan, lames sorties. Ils exigent de recevoir un paiement et de pouvoir quitter légalement l'armée Ottomane, et demande à tout savoir sur cette histoire de grand trésor de Constantinople. Ils menacent de révéler ce secret de trésor au monde entier s'ils ne sont pas payés...

Plus de 20.000 cavaliers Ottomans partent pour la Hongrie le 24. Ils lancent une campagne de pillage dans le pays, mais sont accueillis dans les villages par des coups de fusils ; il semblerait que l'armée Autrichienne est distribuée des armes aux civils, ainsi que beaucoup d'argent, et leur ai expliquer que le véritable ennemi est l'envahisseur Ottoman.

Dans les mers, le blocus maritime de la Hongrie dure toujours, mais les marchands Vénitiens commencent sérieusement à s'énerver de cet état de fait.

Empire Ottoman2.300 Bachi-Bouzouks (désertion)
1.000 mercenaires (désertion)
230 Auxiliaires
100 soldats basiques
80 Pyiades Topçu
Archiduché d'Autriche60 raideurs Autrichiens
110 miliciens Hongrois
15 dragons

Ravitaillement


Hongrie (Autrichienne) : 89%
Roumélie : 100%
Armée Ottomane : 35%, en cours de ravitaillement
Transylvannie : 91%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeSam 2 Mar - 20:44

Front Russe

Avril 1789


Un peu au nord d'Ochakov, de nombreuses pièces d'artillerie et de nombreux soldats Ottomans débarquent pour rejoindre le gros de l'armée. Les conscrits Azabs sécurisent le ravitaillement et le prépare au mieux, puis la gigantesque colonne se met en marche. Elle prend la route de la Crimée, pour espérer atteindre Sebastopol et entreprend de s'attaquer à tous les ports sur sa route, mais sont victime du harcèlement des Opolchenies Russes et des cavaliers Cosaques. De nombreux soldats et mercenaires meurent. A part cela, il n'y a pas grand chose à signaler, et de nombreux ports Russes au nord de la mer noire tombent. Après une vingtaine de jours, alors que l'armée Ottomane est épuisée par toute une journée de marche et coincée au sud par la mer, plusieurs dizaines de milliers de soldats Russes attaquèrent depuis le nord. Outre une trentaine de milliers d'Opolchenies et de 10.000 Cosaques, mais également de 60.000 soldats légers et de ligne et de 20.000 soldats d'élite et de plusieurs pièces d'artillerie de 6 et de 12 livres.

Premier affrontement Russo-Turc

Les Ottomans doivent prendre quelques temps pour réagir, ce qui permet à l'artillerie Russe de commencer un pilonnage. Le terrain étant vraiment très plat, elle ne dispose d'aucun avantage d'aucune sorte, et l'artillerie Ottomane se presse à se mettre en position pour réagir. Les cavaliers Cosaques lancent plusieurs charges réduits pour prendre à revers les pièces d'artillerie adverses, mais sont rapidement vaincus par la cavalerie Ottomane, bien plus nombreuses et plus puissante. Cette dernière lance elle aussi des charges pour prendre à revers les canons ennemis. La bataille tourne rapidement au pilonnage, tandis que les Ottomans s'installent dans des tranchées. A quelques kilomètres du centre de la bataille, à la fin de la longue colonne Ottomane, une charge de plusieurs brigades d'infanterie perce la ligne de front ; Malgré de lourdes pertes dues au bombardement adverse, les Russes débordent leurs ennemis sur ce front. Une charge de cavalerie Ottomane permet de briser un court moment la charge et d'espérer une contre-attaque, mais le bombardement des canons de 12 livres Russes désorganisent la cavalerie. Quelques centaines de soldats viennent prêter main forte à la charge en cours, et les Ottomans doivent se replier sur l'est, sur au moins 190 mètres, permettant à l'Empire de Russie d'empêcher le ravitaillement Ottoman par voie terrestre.

A l'est, les Ottomans passent à l'assaut. Une grande charge de cavalerie, appuyée par des tirs d'artillerie, parvient à percer le front à une centaine de mètres de Darivka. S'ensuite une attaque massive de l'infanterie. Une partie pénètre dans Darivka et prennent la ville ainsi que le port, permettant au ravitaillement d'arrivé par voie maritime, tandis que le reste repart vers le nord - nord-ouest, pour espérer repousser les armées Russes et ainsi pouvoir les déborder par le flanc. Malheureusement, l'artillerie décime les soldats avant qu'ils n'arrivent. S'ensuit une contre-attaque de la Russie, empêchée de justesse par les cavaliers Turcs. Le front se restabilise, et les Ottomans n'ont perdu qu'une broutille, tout juste 50 mètres de terrain.

Sur le centre, rien à signalé, les bombardements sont intenses, mais les charges de cavalerie Ottomanes permettent à ces derniers de garder un certain avantage. Quelques escarmouches ont lieu mais sont trop indécises pour permettre de donner un vainqueur.

Dans le Caucase, les armées Ottomanes attaquent. La faible garnison de la région, de 4.000 hommes et de quelques pièces d'artillerie, ne peuvent globalement pas faire grand chose pour tenir le front. Ils tentent bien, pendant quelques jours, de pilonner les 10.000 Janissaires adverses, mais ceux-ci passent rapidement à l'assaut. Les soldats Russes restent en défense et tiennent bon, mais sont forcés de reculer toujours plus. A la fin du mois, les Russes sont retranchés dans des défenses de fortune, et les Janissaires pensent les plaies infligées par l'artillerie ennemie.



Sur le front Suédois, quelques 16.000 Russes, accompagnés de nombreuses pièces d'artillerie, passent à la contre-attaque. Les Suédois signent la paix avec le Danemark et doivent redescendre en catastrophe vers la Finlande pour la protégée. Le front s'établit quelques kilomètres après la frontière et reste globalement calme. Aucune charge et aucun assaut de front ne sont à signalés, seulement quelques petites actions périphériques de la part des cavaliers Suédois.

Empire OttomanCrimée : 250 mercenaires
390 soldats basiques
120 Kumbaraci
150 Sipahis
30 Janissaires
60 Piyade Topçu
Caucase : 90 Janissaires (capture d'un canon de 12 livres)
Empire RusseCrimée : 480 soldats de ligne
230 Jaegers
50 Grenadiers
1.240 Cosaques
Caucase : 140 soldats de ligne
1 canon de 12 livres (capturé)
Finlande : 40 soldats de ligne
10 Jaegers
Suède20 cavaliers

Ravitaillement

Armée Ottomane (Crimée) : 70%
Armée Russe (Crimée) : 90%
Armée Ottomane (Caucase) : 85%
Armée Russe (Caucase) 90%
Crimée : 75%
Caucase : 98%
Finlande (Russe) : 90%
Finlande (Suédoise) : 82%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeSam 2 Mar - 22:49

Front Nord-Africain

Mai 1789

Entrée en guerre de l'Espagne contre l'Empire Ottoman ! Deux flottes Espagnoles, transportant chacune une armée, lancent l'assaut sur Alger et Tunis. Le débarquement se fait non-loin de ces deux villes ; plusieurs milliers de soldats discrets débarquent et se déplacent ultra-discrètement en utilisant les bois. Ils entourent petit-à-petit les deux villes, et prennent le contrôlent des axes de communication, les isolants ainsi. S'ensuite un débarquement massif.

Bataille d'Alger

Les Espagnols débarquent à une dizaine de kilomètres d'Alger, après avoir isoler la ville. Ils se déplacent sur toute la journée et sont vite repérés par Alger, qui envoie des messages d'alerte au reste du pays -messages bien entendu interceptés-. En fin de journée, l'armée place les canons de 12 livres de sorte à bombarder la ville, tandis que la flotte rentre dans la baie d'Alger pour bombarder la ville. Plusieurs jours, le bombardement dur, jusqu'à ce qu'une brèche apparaisse. Les envahisseurs s'engouffrent alors dans celle-ci et affrontent la milice levée rapidement par les Algériens, qui se fait très rapidement débordée. La bataille dure quelques heures, et finalement le palais tombe. Nulle violence n'est faite à la population ni au gouvernement. Le général et l'amiral Espagnols commandants cette armée s'entretiennent alors avec les nobles Algériens, anciens détenteurs du pouvoir dans ce pays. Après une bonne heure de négociation, des messagers Espagnols partent pour tout le pays ; le Pacha local est déposé, le pouvoir Ottoman détruit et le Royaume d'Alger est crée, aux mains des nobles locaux, alliés désormais de l'Espagne.

Bataille de Tunis

Le débarquement se fait ici à une vingtaine de kilomètres de la ville de Tunis. L'armée met deux jours à atteindre son objectif, permettant aux milices de la ville de mieux s'organisées, mais rien ne change vraiment par rapport à la bataille d'Alger. Le siège est le même et la victoire également. Le Pacha local accepte la proposition Espagnole, et des messagers partent pour toute la Tunisie : le Royaume de Tunisie est crée, avec comme roi le Pacha actuel, débarrasser du contrôle Ottoman. Les milices Turques sont alors chassées du pays.

Espagne210 soldats de ligne
40 grenadiers

Le Royaume d'Alger et le Royaume de Tunis sont crées sous influences Espagnole.
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeJeu 7 Mar - 12:05

Front Suédois

Juin-Juillet 1789

Les troupes Russes situées au sud remontent toutes vers le nord, mais en ont pour plus de 4 mois de voyage avant d'atteindre la Suède. Pendant ce temps, la bataille fait rage entre l'armée Russe ayant pénétrée en Suède et les soldats Suédois, épuisés et désorganisés. Quelques charges de cavalerie Suédoises réduites prennent d'assaut des batteries d'artillerie Russes mais, dans l'ensemble, le front reste calme. Aucune charge n'est à signalée de tout le mois de Juin, et les Suédois en profitent pour réorganiser leurs troupes.
Au début de Juillet, trois bataillons de soldats Suédois, totalisant 3.600 hommes, lancent une charge sur le flanc gauche. Soutenu par quelques centaines de cavaliers et un peu d'artillerie, la charge aurait due être largement décimée par l'artillerie Russe si la cavalerie n'avait pas été là. Cette dernière a été massacrée durant l'assaut, mais grâce à cela les soldats d'infanterie Suédois parviennent jusqu'aux défenses adverses, baïonnette au canon. Les 2.000 soldats Russes présents sur ce flanc sont vite débordés ; alors, le commandement, en l'absence d'ordres, décide de lancer l'assaut au centre du front. Les armées Impériales sont renforcées par des milliers de Hussards et de Ulhans arrivés en renfort, et envoient pas mois de 4.000 hommes d'infanterie, comptant les 600 fuyards du flanc gauche, accompagnés par 1.300 cavaliers et soutenus par une dizaine de pièces d'artillerie. Les Suédois, ayant dégarnis pour attaquer sur le flanc, sont largement en sous-nombre et sont vaincus rapidement. Une habile manœuvre de l'armée Suédoise permet néanmoins de limiter les pertes grâce à un contournement par la gauche, obligeant l'armée Russe à se replier. Le front se déplace de quelques centaines de mètres en territoire Suédois, mais les pertes sont à peu près égales dans les deux camps.

Empire Russe550 soldats de ligne
300 Jaegers
190 Ulhans
260 Hussards
1 licornes de 10 livres
2 canons de 6 livres
Suède400 soldats de ligne
520 cavaliers
4 canons de 6 livres
130 voltigeurs

Ravitaillement

Armée Russe : 95%
Armée Suédoise : 97%
Finlande (Russe) : 100%
Finlande (Suédoise) : 92%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeVen 8 Mar - 22:24

Front Suédois

Août 1789

Les armées Russes commencent lentement à étirer le front au début du mois. Lentement, il s'étend sur le nord, sur plusieurs centaines de mètres. En plus de cela, les soldats Russes lancent des raids constants et interdisent aux Suédois tout repos. De petites charges sont organisées ça et là, obligeants les armées Suédoises à s'enterrer dans leurs positions. Autrement, le front reste assez calme ce mois-ci, les armées Russes progressent toujours vers le nord pour rejoindre la zone de combat.

Empire Russe60 soldats de ligne
40 Jägers
20 Ulhans
10 Cuirassiers
Suède75 soldats de ligne
20 voltigeurs
40 cavaliers

Ravitaillement

Armée Russe : 95%
Armée Suédoise : 96%
Finlande (Russe) : 100%
Finlande (Suédoise) : 93%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeSam 9 Mar - 22:20

Front Suédois

Septembre 1789

Les armées Russes continuent d'épuiser les Suédois en lançant de nombreux raids, aussi bien diurnes que nocturnes. Ils s'installent peu à peu dans d'inconfortables positions. Un assaut Suédois rondement mené, à l'extrême-nord du front, oblige les Russes à reculer sur une centaine de mètres mais ces derniers reçoivent à Tallinn et à Saint-Pétersbourg, en fin de mois, de nombreux renforts en provenance de Crimée. Ils embarquent immédiatement à bord de certains navires et la flotte se met en branle et prend la mer dans plusieurs directions. La flotte Suédoise tente une sortie pour surveiller ses côtes principales, mais globalement rien ne se passe durant les derniers jours du mois.

Empire Russe200 soldats de ligne
190 Opolchenies
1 licorne de 20 livres
200 Ulhans
290 Jägers
Suède210 soldats de ligne
280 voltigeurs
180 cavaliers

Ravitaillement

Armée Russe : 96%
Armée Suédoise : 97%
Finlande (Russe) : 100%
Finlande (Suédoise) : 94%
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MessageSujet: Re: Septième guerre Russo-Turque   Septième guerre Russo-Turque Icon_minitimeMar 12 Mar - 20:36

[H.J : J'ai attendu d'éventuels ordres d'Esko et après j'ai oublier >.<]

Front Suédois

Octobre-Novembre-Décembre 1789

Débarquement des forces Russes à Helsinki, Aland et Gotland simultanément. La flotte Suédoise parvient à parer l'attaque d'Helsinki au prix de la perte d'une frégate, mais les îles d'Aland et de Gotland sont submergées par de trop nombreux soldats Russes. Tout le mois d'Octobre voit des affrontements entre les attaquants et les faibles garnisons de ces deux îles. Le 2 Novembre, Aland tombe ; le 5, Gotland également. Suite à ces évènements, les trois armées lancent l'assaut sur Helsinki, débarquant en différents points de la côte. La flotte adverse est submergée et ne peut empêcher le débarquement, et la garnison locale s'enferme dans la ville. Cette dernière a de quoi tenir de longs mois grâce à ses vivres, mais subit un blocus naval, permis grâce à la supériorité Russe, notamment numérique, sur les mers.

Sur le front, le combat continue. Des dizaines de milliers de soldats Russes arrivent au front et détruisent totalement le front Suédois. L'armée est débordée partout et doit se replier en quatrième vitesse, abandonnant toutes les pièces d'artillerie de 12 livres. Elle se replie sur Jyväskylä, espérant pouvoir se réorganiser là-bas. L'immense colonne Russe met du temps à se mettre en marche et à la poursuivre, mais la rattrape très rapidement. La ville est parfaitement incapable de tenir, et quelques journées de bombardement la rase, obligeant les Suédois à fuir de nouveau. Durant deux mois complets, les Suédois ne font que fuir, permettant aux adversaires de gagner du terrain, bien que les tireurs embusqués et les harcèlements grâce aux cavaliers soient constants et meurtriers. Les Russes, quant à eux, sécurisent petit-à-petit tout le territoire entre Vyborg et Seinäjoki, à l'exception d'une région au sud de la Finlande, qui comporte Helsinki assiégée. Le 11 Décembre, ils décident de se retourner et d'arrêter de fuir. Ils se positionnent sur leurs territoires, qu'ils connaissent bien, et lancent des raids éclairs constants, harcelant l'armée ennemie. Ces attaquent sont particulièrement meurtrières, et les Russes s'arrêtent et s'établissent sur un front long d'au moins dix kilomètres. Ils envoient alors des groupes de reconnaissance pour débusquer les troupes Suédoises.

Empire RusseFront principal : 1.020 soldats de ligne
550 Jägers
230 grenadiers
300 cavaliers Cosaques
250 Hussards
100 dragons
+8 canons de 12 livres
Îles et Helsinki : 340 soldats de ligne
110 vétérans
580 Opolchenies
SuèdeFront principal : 8 canons de 12 livres (pris par l'ennemi)
980 soldats de ligne
700 voltigeurs
130 grenadiers
1.030 cavaliers
Îles : Les garnisons des deux îles sont détruites

Ravitaillement

Armée Russe principale : 91%
Finlande (Russe) : 74%
Finlande (Suédoise) : 80%
Armée Russe (Helsinki) : 75%
Helsinki : 80%
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