Siège militaire Autrichien

Forces Autrichiennes :

Total de soldats :
Soldats de ligne : 162.500
Voltigeurs : 87.000
Grenadiers : 30.000
Hussards : 9.750
Dragons : 53.900
Cuirassiers : 2.000
Canons de 18 livres : 2.800
Canon de 12 livres : 100
Mortiers : 50



1er Armée Autrichienne :

• Général : Charles-Louis de Ficquelmont

• Troupes : 35.000 soldats d'infanterie de ligne, 20.000 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 2.500 hussards, 6.250 dragons, 750 cuirassiers, 50 canons de 12 livres, 14 mortiers.

• Position : Prusse

2e Armée Autrichienne :

• Général : Karl mack

• Troupes : 20.000 soldats d'infanterie de ligne, 17.000 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 500 hussards, 11.900 dragons, 750 cuirassiers, 12 mortiers, 2.800 canons de 18 livres.

• Position : Prusse

3e Armée Autrichienne :

• Général : Johann von Hiller

• Troupes : 20.000 soldats d'infanterie de ligne, 10.000 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 2.000 hussards, 12 mortiers.

• Position : Vienne

4e Armée Autrichienne :

• Général : Friedrich von Hotze

• Troupes : 20.000 soldats d'infanterie de ligne, 20.000 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 2.500 hussards, 5.750 dragons, 500 cuirassiers, 50 canons de 12 livres, 12 mortiers.

• Position : Prusse

1er Corps de défense Autrichien :

• Général : François-Charles de Veyder

• Troupes : 30.000 soldats de ligne, 10.000 voltigeurs 15.000 dragons 5.000 grenadiers

• Position : Prusse

2nd Corps de défense Autrichien :

• Général : Maximilian Merveldt
  

• Troupes : 30.000 soldats de ligne, 15.000 dragons, 10.000 voltigeurs 5.000 grenadiers

• Position : KutenBerg fortifié

Armée de Bavière :

• Général : Pál Kray
  

• Troupes : 7.500 soldats de ligne 2.250 hussards

• Position : Munich

Troupes en formation :
20.000 Lanciers/arrivée : Septembre 1799
10 navires de 3e rang/arrivée : Novembre 1800
18.000 soldats de ligne/arrivée : Mai 1799
250 canons de 18 livres : Janvier 1800

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Comportement basique de l'armée Autrichienne. En cas de batailles, sauf contre-ordre spécial l'armée autrichienne adaptera une formation semblable à celle-ci :

Noir = Infanterie (principalement infanterie de ligne et grenadier, les voltigeurs sont bien souvent exclus de la formation pour permettre des utilisations stratégiques de leurs capacités)
Rouge = Artillierie (toutes pièces à part quelques fois les mortiers)
Bleu = Cavalerie (tout types de cavalerie, Hussard et lancier à l'avant).

Plusieurs troupes restent à l'arrière parfois, notamment les voltigeurs pour permettre des attaques de revers et les mortiers. Des unités de cavalerie sont parfois laissés en arrière afin de permettre des renforts rapides ou des utilisations stratégiques.



En camp de campagne l'Armée Autrichienne est une armée massive, le grand nombre de soldats y siégeant et mis en avant et utilisé. L'Armée n'est que rarement concentré en un seul endroit, ils s'étalent sur de la distance pour permettre une mise en formation rapide. Chaque régiment possède son propre commandement, c'est ainsi qu'ils établissent leur fonctionnement. En cas de batailles les chefs de commandement se réunissent autour du général qui distribue les ordres.

Lorsqu'ils sont en campagne les troupes autrichiennes ne campent jamais sur un terrain trop à découvert, bien souvent leur campement sont soit dans des villes (fortifiées si possible) soit à proximité de forêts ou marais, en hauteur afin de permettre une utilisation stratégique des troupes. En cas d'attaque sur une ville sans défense l'armée autrichienne n'hésitera pas à se servir des ressources sur place, les pièces d'artillierie seront repparties de façon à pouvoir faire feu dans toute la ville. Les troupes iront se cacher un maximum possible pour empêcher de connaitre le nombre exact occupant la ville.

Lors des déplacements l'armée Autrichienne prend une forme toute simple, à l'avant la cavalerie qui ouvre le pas et sert d'éclaireur, suivit de près par quelques régiments d'infanterie puis par l’artillerie encadrée par un peu d'infanterie. Puis le reste de l'infanterie (c'est ici que ce déplace les unités de voltigeurs) finit la colonne. Lorsque l'armée est attaquée alors qu'elle est en mouvement elle répond en se concentrant, les canons érigent un périmètre de sécurité dans lequel se place l'infanterie, la cavalerie se charge de repousser l'ennemi face à l'armée afin d'adopter ensuite la position basique.

Dans le cas où la position basique se ferait avoir l'armée autrichienne opérerait par un repli stratégique, cherchant la hauteur la plus proche les canons iraient prendre position pendant que l'infanterie leur sécuriserait le chemin. La cavalerie retiendrait l'ennemi, soutenu par le feu des fantassins. Une fois les canons en place ils entameraient un feu de barrage pour permettre aux cavaliers de revenir.

L'Autriche dispose de 100.000 soldats de ligne, de 50.000 voltigeurs et de 20.000 grenadiers. 10.000 Hussards, 5.000 Dragons et 3.000 Cuirassiers se battent sous vos ordres, ainsi que 200 canons de 12 livres et 50 mortiers.

L'empereur d'Autriche a déclaré la formation de 100.000 Soldats de lignes pour le prix de 100.000 Francs. Ainsi que la construction de de 56 unités de canons de 18 livres (2800 pièces d’artillerie) pour un total de 84.000 francs. La formation de 50.000 voltgieurs et 50.000 dragons pour 140.000 francs (les deux compris) sera également lancée.

L'Archiduc François 1er annonce la formation de 10.000 grenadier pour le prix de 12.000 Francs.

L'archiduc François 1er déclare aujourd'hui le mouvement de l'armée Autrichienne. Les 2e et 4e armées autrichienne des généraux Karl Mack et Friedrich von Hotze se mettent aujourd'hui en route. Leur destination : Hanovre. Dorénavant l'armée Autrichienne entre dans le conflit franco-Hanovrien. Elle iront porter aide aux habitants d'Hanovre afin de repousser les Français. De plus la 3e armée du général Johann Von hiller prend la route pour la ville de Botzen afin de se prémunir contre une attaque italienne.

Les deux armées Autrichienne des généraux Karl Mack et Freidrich Von Hotze en marche vers les états du Saint-Empire. Leur destination sera le Rhin. Ceci aura pour but de maintenir le Rhin fortifié. Les deux armées occuperont le fleuve de sorte à empêcher d'éventuels renforts Français de venir soutenir les troupes Françaises déjà en place à Hanovre. Les deux armées adopteront une position défensive basé sur la position. La cavalerie ainsi que les voltigeurs seront placés en retrait, l'infanterie de ligne tout prêt du fleuve suivit de près par les grenadiers destinés à une protection des canons et à une seconde vague d'attaque. Les voltigeurs seront les plus reculés pour être disponibles à une attaque de revers contre une possible offensive française. La cavalerie se tiendra prête à intervenir pour repousser les troupes Française et les concentrer en un point pour rendre la tache de l'artillerie plus simple. Les voltigeurs devront eux simplement percer les lignes ennemies pour laisser la cavalerie agir. L’artillerie se contentera de viser le centre de l'armée pour détruire la formation française.

La 3e armée du général Johann Von hiller stationné à la frontière italienne auront pour mission d'entrer sur le territoire ennemi. Les troupes devront se déplacer vers milan directement, ne visant pas les autres villes sur le chemin. En cas de rencontre avec des troupes ennemis elles devront adapter une stratégie offensive, un assaut lancé par la cavalerie, appuyé par l'infanterie et l'artillierie. Le grenadiers devant un morceau de l'infanterie protégeant l'artillierie. Les voltigeurs devront reculer un peu afin de prendre à revers les troupes ennemis. Une fois à Milan les troupes devront stationnés hors de portée de feu de leurs adversaire pendant que l'artillierie fera feu en faisant attention à ne pas entrer trop dans le champ de tir ennemi. La cavalerie restera en retrait pour protéger d'une attaque par derrière.

François 1er D'autriche demande aux troupes des princes allemand disponibles de se joindre à la fortification du Rhin.

-Alors que Venise était prise le commandement Autrichien déclare un retrait des troupes du général Johann Von hiller. Celles-ci vont se replier jusqu’à la ville fortifier de Udine. Sur place ils auront donc la ville pour eux. Les forces d’infanterie et d’artillerie restantes devront s’installer à l’intérieur de celle-ci et à en faire donc un bastion. Les 10.000 soldats de ligne Autrichiens sur les remparts, soutenus par les grenadiers. Depuis l’intérieur les 12 mortiers Autrichien seront placés de sorte à viser les pièces d’artillerie ennemie si possible et sinon à viser toute chose à porter. Les voltigeurs restant stationneront dans la ville à aider le travail de l’infanterie de ligne. La cavalerie elle ne stationnera pas dans l’enceinte de la forteresse, elle ira se cacher au sien du mont Montasch afin de préparer une attaque. Les dragons par contre eux mettront pied à terre et viendront grossir les rangs d’infanterie au sein de la forteresse à l’aide de leurs fusils. Une fois que la bataille sera engagée la cavalerie Autrichienne viendra, menée par les 750 cuirassiers. Appuyé par les 2.000 hussards. Une fois que celle-ci sera arrivée au contact, si elle a réussi à causer suffisamment de dégâts les voltigeurs feront à leur tour une sortie pour appuyer les forces de cavalerie. Peu à peu les troupes d’infanterie sortiront à leur tour, hormis les grenadiers qui resteront à l’intérieur pour user de leurs armes à distance de la manière la plus efficace possible. Les dragons remonteront à cheval afin de contourner l’armée et la prendre par derrière.

-La 1er Armée Autrichienne stationnant à Vienne prendra aussitôt la route pour Udine, dès que possible. L’armée du général Charles-Louis de Ficquelmont prendra la route afin d’arriver sur place le plus tôt possible. Une fois là-bas si l’offensive Franco-italienne n’a pas débuté les troupes viendront grossir les rangs et appliquer la même stratégie que l’armée du général Johann Von hiller. Sinon la cavalerie lancera un assaut à revers du 2nd côté non attaqué par la cavalerie de la 3e armée. Les voltigeurs eux viendront appuyés l’offensive de la troisième armée pendant que l’infanterie restant plus l’artillerie viendra affronter de face l’armée Française. Prenant une position précise non-loin de la porte et y faisant stationner l’artillerie protégée par les grenadiers et l’infanterie de ligne. Les canons de 12 livres auront pour but de tirer sur l’artillerie si elle est encore debout ou sinon de tirer en des zones concentrées de soldats. Les mortiers devront eux tiré sur les lignes intérieures de l’armée Française pour faciliter le passage de la cavalerie.

-Pendant ce temps les troupes présentes sur le rhin repartent, hormis une dizaine de millier de voltigeurs qui resteront au rhin à tenir les fortifications à étudier les lieux afin de permettre des embuscades et des haras sur les troupes tentant de traverser et également ils auront pour tache de continuer à fortifié le rhin. Les autres troupes doivent revenir à Vienne. Sur la route ils devront attaquer Baden-Baden et Stutgart. Les voltigeurs servant d’éclaireurs tant qu'une bataille n'éclate pas et sinon la formation basique. En cas de rencontre le plan habituel de campagne sera effectif. Une fois face à l'une des villes l'armée Autrichienne des généraux Karl Mack et Johann Von hiller devront utiliser un plan précis. Les mortiers devront faire feu au cœur même des lignes ennemis, visant l'armée pendant que les canons de 12 livres présent iront détruire les lignes face à eux. La cavalerie lourde, cuirassier et hussard devra enfoncer l'armée face à eux afin de laisser les grenadier finir de détruire la formation. Les dragons contourneront en partie la bataille ou passeront à travers le trous pour aller viser l’artillerie si elle est là ou bien mettre en débâcle totale l'armée ennemie. L'infanterie de ligne avancera au rythme de l’artillerie, les protégeant et opérant un feu de large zone afin d'empêcher un changement de stratégie ou un repli ennemi. En cas de retraite ennemi les dragons contourneront pour couper le chemin accompagné par l’artillerie qui opérera un feu de barrage pour laisser le temps au reste de l'armée de décimer les troupes ennemis.

Les troupes présentes sur le rhin de commandement Autrichienne devront se replier, et cela comprend également les voltigeurs du rhin. Les troupes devront se replier jusqu'à Vienne en attendant les prochains ordres. Les 100.000 nouveaux soldats de lignes iront eux à Vienne pendant que les armées Autrichienne se replieront à la forteresse de Kutenberg. Les 50.000 voltigeurs nouvellement arrivé devront eux s'installer à la forteresse d'Udine. Les troupes d'italie se diviseront, la 3e armée ira elle aussi à Udine pendant que la 1er retournera à Vienne.

A Udine et Kutenberg l'organisation sera la suivante : Les soldats de ligne Autrichiens sur les remparts, soutenus par les grenadiers. Depuis l’intérieur les 12 mortiers Autrichien seront placés de sorte à viser les pièces d’artillerie ennemie si possible et sinon à viser toute chose à porter. Les voltigeurs restant stationneront dans la ville à aider le travail de l’infanterie de ligne. La cavalerie elle ne stationnera pas dans l’enceinte de la forteresse, elle ira se cacher au sien du mont Montasch afin de préparer une attaque. Les dragons par contre eux mettront pied à terre et viendront grossir les rangs d’infanterie au sein de la forteresse à l’aide de leurs fusils. Une fois que la bataille sera engagée la cavalerie Autrichienne viendra, menée par les 750 cuirassiers. Appuyé par les hussards. Une fois que celle-ci sera arrivée au contact, si elle a réussi à causer suffisamment de dégâts les voltigeurs feront à leur tour une sortie pour appuyer les forces de cavalerie. Peu à peu les troupes d’infanterie sortiront à leur tour, hormis les grenadiers qui resteront à l’intérieur pour user de leurs armes à distance de la manière la plus efficace possible. Les dragons remonteront à cheval afin de contourner l’armée et la prendre par derrière.

Les deux forteresses occupés organiseront des patrouilles autour de chez-eux pendant que les forces présente renforceront les forteresses.

Une réorganisation est relancée, les 4 armées autrichiennes, soutenues par un nombre de renforts en soldats de ligne, voltigeurs et dragons se regroupent à Vienne. Le nouveau corps de défense Autrichien du général Maximilian Merveldt va aller à Kutenberg pendant que le 1er corps du général François-Charles de Veyder présent à Udine se retrouvera réorganisé. Les deux armées utiliseront le modèle suivant en cas d'attaque, sachant que chacun d'entre eux doit continuer à fortifier chez lui.

Les soldats de ligne se présenteront sur les remparts afin de tenir la position. Les dragons ayant mis pied à terre les soutiendront. Les voltigeurs établiront un petit camps un peu à l'extérieur des forteresses. Ils organiseront des patrouilles afin de voir si une armée ennemie attaque. Si c'est le cas les hommes autrichiens iront envoyer de petits haras sur les troupes, mais rapide et court afin de ne pas subir trop de pertes, il les feront sur des endroits changeant, et visant les deux flancs, le devant et l'arrière. Une fois l'armée ennemie à la forteresse les voltigeurs se regrouperont derrière afin de les prendre par derrière visant en priorité l’artillerie si elle est là. Les grenadiers devront eux rester sur les remparts afin de tirer le plus loin possible leurs bombes sur l'armée ennemie. Si celle-ci s'éloigne trop ils sortiront afin de pouvoir effectuer des tirs de barrage sur l'armée ennemie.

Prusse : 1er armée, 1er corps de défense, 4e armée
Bavière : 2e armée, 3e armée
Autriche : 2e corps de défense

Le 2nd Corps de défense du général Maximilian Merveldt continuera de stationner à Udine, continuant de renforcer la cité et patrouillant toujours autour. Les soldats seront placés en alerte constante d’une possible attaque Prusse. En cas d’attaque le plan appliqué restera le même que les fois précédentes.

Les 1er, 4e Armée ainsi que le 1er corps de défense des généraux Charles-Louis de Ficquelmont, Friedrich von Hotze, François-Charles de Veyder sous le commandement en chef de Charles-Louis de Ficquelmont devra prendre la route de Berlin. Les armées Autrichienne opéreront une formation de base durant le déplacement. Elles ne seront pas regroupées en un seul grand groupe mais séparées en trois colonnes. Les colonnes avanceront parallèlement à distance moyenne entre elle. En première ligne il y aura la cavalerie, suivie par la moitié de l’infanterie de ligne, puis artillerie et grenadiers puis l’autre moitié d’infanterie de ligne. Les voltigeurs fermeront la marche. Certains des cavaliers seront utilisés comme éclaireurs, afin de repérer une éventuelle armée ennemie durant le déplacement. Si c’est le cas alors les troupes Autrichiennes adopteront le modèle suivant : ils devront tout d’abord s’installer sur le point haut le plus près, quitte à reculer un peu. Si il est possible voici les ordres : Les canons s’installeront au somment de la hauteur afin d’avoir la meilleur vue possible, les mortiers juste en-dessous pour profiter d’une portée supérieur. Les grenadiers encore juste en dessous afin d’avoir eux aussi une vue et une portée supérieure. L’infanterie de ligne créera un front de combat. Les voltigeurs contourneront eux le batailles, ils tenteront d’accéder dans le dos de l’armée ennemie afin de viser en priorité l’artillerie puis l’arrière. La cavalerie lourde (hussards et cuirassiers) devront eux attendre que le front de combat de solidifie bien pour attaquer dans une puissante charge les lignes ennemies et les briser afin de laisser l’infanterie de ligne mettre en panique les forces ennemies. Avant cela, au commencement de la bataille les dragons se diviseront pour harasser les flancs ennemis. De plus une partie ira soutenir les voltigeurs en leur offrant une ligne de corps à corps. Les mortiers devront faire feu en des endroits concentrés pour mettre à bas des zones de l’armée ennemie. Les canons de 12 livres viseront les premières lignes ennemies afin de les percer avant la charge de cavalerie. Celle-ci faite ils viseront un peu plus derrière, mais jamais trop à la fin pour pouvoir profiter du rebond de boulet. Une fois la bataille gagnée les voltigeurs et dragons prendront toujours de derrière le reste de l’armée pour s’attaquer aux éventuels survivant, et les hussards et cuirassiers devront eux charger pour éliminer le reste de l’armée. En cas de défaite l’artillerie opérera un feu de barrage pour permettre aux forces Autrichiennes de fuir. Si l’armée ne trouve aucun point haut elle opérera une manœuvre semblable, mais au sol. La différence sera que les dragons n’iront pas harasser, les voltigeurs le feront. Les dragons ayant posés pied à terre soutiendront l’infanterie de ligne. Une fois que l’armée aura atteinte une ville elle opérera le système de combat suivant. Les canons de 12 livres, accompagnés par les grenadiers, ouvriront le feu sur les troupes face à elles, ou bien viseront l’entrée de la ville pour la libérer. Les mortiers tireront par-dessus les rangs, visant soit derrière les murailles soit l’arrière de l’armée ennemie. Les soldats de ligne créeront le combat en face, l’armée reculera aussi doucement pour permettre à leur ennemis d’avancer. Une fois l’armée ennemie suffisamment avancée les voltigeurs iront effectuer plusieurs petits haras dans les flancs ennemis pendant qu’une charge de la cavalerie lourde visera le front pour le briser. Les grenadiers et canons appuyant le combat. Les dragons iront eux soutenir la ligne de front à pied puis reprendront le cheval pour aller aider les voltigeurs dans leur travail de haras. Ceci fait voltigeurs et dragons se concentreront sur un seul flanc, attaquant pour percer les lignes de flancs déjà affaiblies. Une fois les forces ennemies enfoncées les armées continueront d’avancer pour détruire de long en large les forces ennemies. Une fois la victoire acquise les forces Autrichienne devront rapidement s’assurer du contrôle de la ville et se reposer un peu, prenant sur leur passage un peu de vivres puis continuer leur route. En cas de défaite l’artillerie plus les grenadiers opérera un feu de barrage pour permettre à l’armée de se replier jusqu’à une position arrière et de la fortifier.

Les ordres en Bavière seront semblables à ceux pour l’Allemagne excluant la partie sur les canons de 12 livres. Ils iront vers Munich pour leur part.

Les forces Autrichiennes présentes en Prusse devront se stabiliser, Charles-Louis de Ficquelmont commandant en chef de l’armée de Prusse devra donner l’ordre de camper. Ils devront trouver une position non-loin d’une forêt, et d’un point d’eau. Fortifiant leur position. Les voltigeurs de l’armée devront aller chasser dans les environs, ainsi que pêcher et rapporter de l’eau afin de pouvoir nourrir les forces d’Autriche. La cavalerie en totalité prendra quant à elle la route. Destination ? Partout. Ils feront des recherches sur la position de l’armée ennemie. Une fois que celle-ci sera trouvée la cavalerie aura comme ordre d’attaquer sous formes de petits haras les forces ennemies. Elles ainsi que l’arrière et l’approvisionnement des troupes allemandes. L’Armée devra stationner en fortifiant sa position et attendant les renforts. Les soldats devront se reposer et se rationner jusqu’à l’arrivée de renforts avec le ravitaillement. Ils établiront des murailles en bois avec des pieux devant pour éviter une charge de cavalerie. De petits tours seront aussi fabriqués. Les voltigeurs apporteront un maximum de vivres et ils vérifieront aussi que les rebelles ne tentent pas une attaque contre la position, si oui ils viendront prévenir le campement pour que celui-ci adopte le plan suivant. Les soldats de ligne prendront place sur les remparts et les tours pour faire feu sur les ennemis. Les canons de 12 livres seront mis sur les tours et en bas des remparts, dans des meurtrières pour permettre de faire feu efficacement sur l’armée ennemie. Les grenadiers accompagneront les soldats de ligne sur les remparts. Les mortiers seront eux au sol pour pouvoir tirer par-dessus les remparts. Ils n’ouvriront le feu qu’en cas d’arrivée au contact de forces ennemies pour utiliser un effet de surprise. Les haras de la cavalerie seront organisés de la façon suivante : une première charge, effectuée par les cuirassiers et les hussards frapperont le flanc ennemi avant de faire un repli rapide. Ceci fait les dragons lanceront une attaque rapide à distance avant de se replier à leur tour. Ensuite l’armée contournera et refera la même attaque de l’autre côté. Puis se repliera jusqu’à l’autre flanc. Là ils changeront de tactique. Une attaque dragon sera lancée en premier à distance, puis une charge de toute la cavalerie, une charge rapide puis un repli. Puis la même opération de l’autre côté. Ensuite les forces alterneront les charges des deux façons sur les flancs, mais de façon imprévisible c'est-à-dire qu’ils changeront toujours le nombre d’attaque sur tel flanc ainsi que le nombre de fois l’utilisation d’une stratégie. Cette unité de cavalerie sera menée par Friedrich von Hotze, le général de la 4e armée Autrichienne lui-même. Les forces Autrichiennes devront maintenir donc leur position jusqu’à l’arrivée des renforts.

L’Armée de Bavière du général Pal Kray nouvellement assigné avec l’armée bavaroise restera à Munich, accumulant nourriture et fortifications autour de la ville. En cas d’attaque contre la ville les 7.500 soldats de ligne iront créer une ligne de front pendant que la cavalerie viendra envoyer une puissante charge dans les lignes ennemies. Les soldats de ligne continueront de faire avancer le front aidé par les hussards qui devront ainsi totalement briser la formation ennemie avant de finir le travail en attaquant les rescapés. Ceci fait ils retourneront dans la ville afin de continuer leur travail. Les deux armées Autrichiennes reviendront ensuite en territoire Autrichien, prenant sur leur chemin les 2.800 nouveaux canons arrivés. La 2nd Armée Autrichienne de Karl Mack prendra avec elle les 2.800 canons Autrichiens nouvellement fabriqués, sortant des nouvelles usines Autrichiennes. Ainsi le nouveau régiment de combat prendra ensuite la route de Berlin. Empruntant le même chemin que l’autre armée, ils emporteront avec eux 2.000 des voltigeurs de la 3e Armée, tous leurs dragons et cuirassiers. La 3e Armée du général Johann von Hiller continuera en Autriche. Elle prendra elle la route de Vienne afin de venir garnir la garnison de la capitale. Sur place ils commenceront à la fortifier. En cas d'Attaque le plan de défense sera le même que pour Kutenberg (n'ayant pas changé) rajoutant juste une charge de hussards et un feu de barrage de mortiers. Sur sa route la 3e armée construira de petit poste avancés non très important où ils laisseront quelques soldats récupérés de la 3e armée afin d’assurer une ligne de ravitaillement solide. Ils prendront donc la route de la zone fortifiée par le général de l’armée de Prusse. Sur le chemin ils adapteront toujours le même comportement en cas de rencontre avec une armée ennemie, mais remplaçant la partie sur les canons de 12 livres par des canons de 18 livres. Il y aura juste une variante sur le déplacement. Les troupes de la 3e armée seront entièrement derrière. Devant il y aura la 2e armée. Les canons, mortiers et artillerie au centre. Autour les voltigeurs, et encore autour les soldats de ligne. La cavalerie Autrichienne sera devant et les dragons serviront d’éclaireur au sein du territoire. Si un haras ennemi vient les troupes sur les côtés doivent se stopper pour que la ligne d’après les déborde. Sur les postes avancés les troupes doivent assurer la sécurité et non combattre. Ils assurent que les convois n’aient pas de problèmes, une petite partie est assignée à la protection direct alors que l’autre est sur des postes avancés.

Une fois que les troupes auront rejoins les forces déjà en place ils prendront un petit temps de repos afin que les forces de Charles-Louis de Ficquelmont puissent bien se ravitailler et que celles de Karl Mack puissent se reposer un peu. Une fois le repos finit les troupes reprendront la route de Berlin, appliquant toujours la même stratégie que la fois précédente hormis la forme de l’armée qui sera celle de la 2nd armée en route pour rejoindre la 1er. Leur cible sera de nouveau Berlin. Ils feront de courtes pauses régulière afin d’attendre un peu de ravitaillement.




De plus la formation de plusieurs troupes sont lancées :
-20.000 Lanciers (36.000)
-10 navires de 3e rang (100.000)
-18.000 soldats de ligne (18.000)
-250 canons de 18 livres (17.500)

pour un total de 171.500 Francs

La division chargée de la protection de la ligne de ravitaillement récupérera un dernier convois avant de rejoindre les troupes Autrichiennes à Cottbus. Ensuite les trois armées sortiront des villes, direction Potsdam. Toujours sous le commandement en chef du général Charles-Louis de Pickelmont les armées avanceront toujours sous le même modèle de déplacement. Seulement quelques choses changeront. De petits groupes de cavaleries se sépareront assez fréquemment afin d’aller rechercher des vivres sur les terres environnantes, et afin de repérer une éventuelle armée ennemie. Ces groupes seront essentiellement composés de Dragons. En cas de confrontation avec une grosse armée ennemie les ordres de batailles changeront à cause de l’arrivée des nouveaux canons Autrichiens.

Tout d’abord les canons de 18 livres tireront en synchronisation en utilisant toute leur portée, comptant les rebonds afin de heurter l’armée ennemie avant même le début de la bataille. L’artillerie tirera à longue distance dans l’armée, devant causer de graves pertes. Les voltigeurs iront éffectués une attaque rapide sur l’un des flancs, puis sur le second avant d’attaquer par derrière soutenu par deux dizaines de millier de dragons. Les mortiers tireront par-dessus les lignes ennemies, visant le cœur de l’armée. L’attaque finale par derrière devra viser l’artillerie en priorité. Les soldats de ligne tiendront le front, accompagnés par derrière de grenadiers envoyant leurs bombes sur l’armée ennemie. Le reste des dragons mettra pied à terre afin de protéger l’artillerie d’une éventuelle tentative d’attaque de front contre eux. Une fois la bataille bien engagée les cuirassiers et hussards lanceront une puissante charge dans les rangs ennemis afin de les percer. Une fois ceci fait les deux partis de la bataille feront en sorte d’écraser l’armée ennemie en « sandwich ». L’artillerie opérera alors des feu sur les flancs afin d’éviter une fuite de trop de soldats pour en terminer avec l’armée. Les dragons et voltigeurs ayant attaqués par derrière progresseront doucement pendant que les soldats de ligne, aidés des grenadiers et d la cavalerie lourde s’efforcera de créer une grande faille dans l’armée ennemie. Une fois ceci fait la cavalerie lourde se chargera de faire se rejoindre les deux groupes d’armée à l’aide d’une nouvelle charge ayant pour but de littéralement couper en deux l’armée ennemie. Ceci fait, leur position détruite, les deux groupes armés commenceront à avancer afin de broyer l’armée ennemie soutenue par le feu des mortiers. Les canons visant toujours les flancs pour éviter une trop grosse fuite. Une fois la bataille gagnée les forces Autrichiennes reprendront si possible les canons ennemis avant de reprendre la route vers leur cible après un petit repos. Si la bataille est perdue les forces Autrichiennes opéreront un plan semblables aux derniers, un feu de barrage de l’artillerie puis un repli.

Les éclaireurs voltigeurs Autrichiens devront eux trouvés les repaires des patriotes allemand, une fois trouvé l’armée Autrichienne aura pour but d’attaquer ce repère afin de mettre fin aux agissements incessant des rebelles. Les soldats Autrichiens devront se nourrir des vivres apportés par le dernier convoi et par ce qu’ils récupèrent de la chasse, de la pèche et des terres Prusse. Les forces devront toujours faire parfois de petites pauses afin de reprendre leur souffle, d’étudier les terres alentours et de récupérer un peu de vivres.

La cible de l’armée Autrichienne ce mois-ci est Potsdam. Une fois aux abords de Potsdam plusieurs options. Un : si la ville est inoccupée les forces Autrichienne vont s’en emparer et la fortifiée autant que possible, y rassemblant les vivres. Là ils devront se préparer aux prochains ordres, ils devront se reposer, se soigner si nécessaire et se ravitailler. Si la ville est occupée par une armée ils devront faire les ordres suivants. Les canons de 18 livres devront ouvrir le feu à la plus haute distance, visant les troupes ennemie et en priorité l’artillerie. Les portes de la ville seront également leur cible, accompagné par les canons de 12 livres une fois la première salve tirée et ce afin d’ouvrir le champ pour une charge de cavalerie. Les forces Autrichiennes se rapprocheront ensuite, les mortiers faisant feu par-dessus les remparts. Les soldats de ligne devront ensuite créer le front, soutenu par les grenadiers. Les canons continuant le feu. En cas de victoire les forces Autrichiennes appliqueront le plan de sans armée, en cas de défaite le plan de repli basique, le feu de barrage puis la fuite.

Les forces Autrichiennes regroupées à Potsdam devront attendre que l’armée Ottomane vienne pour les rejoindre. Le général en chef de l’armée de Prusse, Charles-Louis de Pickelmont, aura pour ordre de laisser les troupes se reposer et se ravitailler un peu avant l’assaut. Une fois les troupes prêtes il les mobilisera et lancera le mouvement. Se déplaçant toujours de la même façon, les éclaireurs toujours en place ils prendront la route de Berlin. En cas de rencontre incongru les forces appliqueront le même plan que précédemment. Une fois à Berlin ils appliqueront le plan suivant.

L’armée s’arrêtera avant la ville, à la portée des canons de 18 livres. Ceux-ci auront pour ordres de tirer sur l’entrée de la ville, les remparts et les premières maisons, devront ainsi briser les défenses Prussiennes. Si une armée apparait à l’armée de la ville les canons de 18 livres devront se charger d’user du rebond de leurs boulets afin de détruire la formation et les forcer à battre en retraite. Après plusieurs salves des 2.800 canons et les défenses ennemies briser les cuirassiers hussard plus 5.000 dragons lanceront une charge sur la potentielle armée ennemie ayant survécu et donc à l’intérieur même de la ville. Ils devront s’attaquer à toutes forces hostiles à eux. Une fois la charge terminée ils devront reculer afin de pouvoir laisser les canons de 18 livres ayant un peu avancé et les canons de 12 livres reprendre le feu sur la ville Prussienne. Puis une nouvelle charge avec l’artillerie couvrant les flancs, puis reculer puis feu de l’artillerie ayant un peu avancer. Cette opération sera répétée jusqu’à ce que les canons de 12 livres soit à bonne portées pour la ville. Les forces Autrichiennes se replieront derrière la ligne de l’infanterie de ligne couverte par les grenadiers. Les soldats de ligne et grenadiers devront maintenir les forces ennemies à distance des canons. Les canons devront continuer leurs dégâts pendant que les mortiers tireront sur l’arrière de l’armée ennemie. Pendant ce temps les voltigeurs devront contourner la bataille centrale afin de prendre par derrière l’armée prussienne, visant directement l’artillerie ennemie en un éclair avant de se replier. Une fois la première attaque faite ils enchaineront de petits haras sur les flancs de l’armée prussienne profitant du paysage urbain pour se cacher. Alors que la bataille sera bien entamée les hussards et cuirassiers lanceront une autre charge sur l’armée ennemie ayant pour but de briser la formation. 5.000 Dragons contourneront la bataille afin d’attaquer par derrière et de tuer les éventuels fuyards. Le reste des Dragons protégera les canons d’une éventuelle tentative de débordement. En cas de victoire les forces Autrichienne devront faire un maximum de prisonnier et un minimum de morts, surtout parmi les civils ils ne devront tirer que sur ceux qui les attaquent en premier, à supposer que cela arrive. Ensuite ils iront planter le drapeau Autrichien à la place de celui Prussien et chercher le Duc de Brandebourg et Roy de Prusse. En cas de défaite les forces devront encercler Berlin et le placer dans un état de siège, effectuant parfois des bombardements pour les forcer à se rendre.

Une fois la ville prise les AUtrichiens devront récupérer les richesses royales pour l'archiduché.