3ème Campagne d'Italie

Troisième Campagne d'Italie

Belligérants :	Forces en présence :
Directoire Français	250.000 Conscrits, 3.000 Cuirassiers, 150 canons de 12 livres, 50 canons de 18 livres et 9.600 miliciens.
République Cisalpine	10.000 soldats de lignes, 50.000 Conscrits.
République Romaine	20.000 Conscrits.
Canton de Vaud	10.000 miliciens.
Archiduché d'Autriche	25.000 soldats d'infanterie de ligne, 12.500 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 2.500 hussards, 1.250 dragons, 750 cuirassiers, 50 canons de 12 livres, 12 mortiers.

Attaque Française en Autriche. Les troupes Françaises, Romaines et Cisalpines franchissent, en ce début de mois de mars, la frontière. Ils attaquent une à une toutes les villes sur leur passage. Divisés en trois groupes, leur progression est rapide ; et pour cause, ils ne rencontre aucune défense. Finalement, après quelques jours, le premier groupe se trouve à Valdagno. En sortant de la ville, il se retrouve nez-à-nez avec l'armée Autrichienne, qui faisait route vers l'Italie.

Bataille de Valdagno

Immédiatement, la cavalerie Autrichienne lance une charge mortelle sur l'infanterie Française. Les Hussards et les Cuirassiers enfonce la ligne de Conscrits Française avant même que les canons ne puissent se mettre en position. La cavalerie Française réagit en attaquant la cavalerie Autrichienne sur le flanc. Aidée par l'infanterie qui se bat à la baïonnette, elle force la cavalerie Autrichienne à la retraite stratégique. Pendant ce temps, l'artillerie Autrichienne a put se mettre en place et commence un bombardement des forces Françaises, qui ripostent au canon. L'infanterie Française continue de progresser, tant bien que mal, vers la position des canons ennemis.
C'est alors que l'infanterie Autrichienne passe à l'attaque. Les soldats de ligne se positionne à portée de tir et bombarde les miliciens, qui sont en première ligne. Derrière eux, les conscrits se préparent à riposter en faisant feu. Durant ce temps, les voltigeurs et les Dragons Autrichiens ont contournés l'infanterie pour attaquer les flancs ; ceci est déjouée par la cavalerie Française, qui charge les voltigeurs et les Dragons et infligent de très lourds dégâts dans leurs rangs.

Du côté de l'infanterie, la supériorité numérique Française de 10 contre 1 porte ses fruits, et les Autrichiens reculent. Les tirs d'artillerie en plein milieu de l'armée Française ne change que très peu les choses, et l'armée Autrichienne est en déroute. Les grenadiers, situés devant les canons, bombardent l'armée Française avec l'artillerie. Finalement, c'est toute l'armée Autrichienne qui est en déroute, abandonnant les canons. L'armée Française s'empare de ces derniers. Mais, à la vue des pertes, les généraux qualifient cela de "demi-victoire"...

Pendant ce temps, le reste des armées n'ont pas déviés de leur route et se dirigent toujours vers Venise. Elle est atteinte à la moitié du mois et est prise sans difficulté, du fait du manque de garnison...

Pertes :

Directoire Français	50.000 Conscrits, 9.000 miliciens, 500 Cuirassiers.
République Cisalpine	Aucune.
République Romaine	Aucune.
Canton de Vaud	Aucune.
Archiduché d'Autriche	15.000 soldats de ligne, 8.000 voltigeurs, 500 Hussards, 600 Dragons, 50 canons de 12 livres.

Troisième Campagne d'Italie

[/td][tr][td]15.000 conscrits.

Belligérants :	Forces en présence :
Directoire Français	2.500 Cuirassiers, 100 canons de 12 livres et 600 miliciens.
République Cisalpine	10.000 soldats de ligne.	Canton de Vaud	10.000 miliciens.
Archiduché d'Autriche	10.000 soldats d'infanterie de ligne, 7.500 voltigeurs, 5.000 grenadiers, 2.000 hussards, 650 dragons, 750 cuirassiers, 12 mortiers.

Rien de nouveau en Italie. Les forces Française et alliées renforcent la république Vénitienne tandis que les armées Autrichienne se barricadent à Udine. On parle de l'arrivée d'une autre armée venant de Vienne pour reprendre Venise.

Pertes :
Aucune.