Situation du Royaume des Deux-Siciles

Mes chers conseillers,

Nous, Ferdinand III, souhaitons être informé de la situation actuelle de notre royaume sur le plan économique. En effet, nous souhaitons savoir à combien s'élève les besoins de nos sujets ?

De plus, nous souhaiterions savoir si la noblesse du Royaume est une noblesse qui dans les faits est fortunée et qui s'investie dans les affaires, les domaines économiques et commerciaux ? Ou si notre noblesse, est semblable à l'ancienne noblesse française, décadente pauvre et vivant dans un autre temps ?

Le Peuple est-il heureux ? Mange-t-il a sa faim ?


Enfin, nous avons encore une dernière question, une question d'ordre relationnelle et politique. Il s'agit de la Sardaigne, a qui donc appartient cette ile ?


Le Roi attend à présent vos sages réponses. Ainsi avons-nous parlés !

J'ai répondu à la première question dans un autre topic.

Votre noblesse est riche, ça oui ; mais elle ne s'investie pas du tout. Elle se contente de ce qu'elle possède et ne s'investisse pas dans les affaires du royaume.

Le peuple est heureux et il mange plus qu'à sa faim.

La Sardaigne appartient au roi du Piémont-Sardaigne ; malheureusement, le Piémont est tomber sous domination Française, et le roi ne contrôle plus que la Sardaigne.

Sa Majesté, Ferdinand III, est fier de sa nouvelle conquête mais s'interroge.

Quelle est donc la situation de la Sardaigne ? Sur le plan agricole et industriel ? Mais aussi sur le comportement de la noblesse et du peuples, leurs revendications et attentes ?

[H.J : Je te rappel que tu n'as sous ta domination que la capitale et une autre ville, et qu'un bout de l'armée de Sardaigne ignore que son roi est capturé. Tant que le roi n'a pas capituler ou que tu n'as pas tout envahie, la Sardaigne ne sera pas vraiment à toi]

La Noblesse n'attent rien de particulier de votre part. Tout ce qu'elle désire, c'est qu'on la laisse en paix.
Le comité révolutionnaire local désire que le peuple ai plus de droits et ne soit plus des "sous-fifres" de la noblesse.

Sur le plan agricole, la Sardaigne connaissait quelques techniques qui vous étaient inconnues. Grâce à cette invasion, vous les avez apprise (+3 en technique agricole). Sur le plan industriel, la Sardaigne n'était pas particulièrement avancée, mais vous obtiendrez tout de même un léger bonus industriel.

La situation actuelle de la Sardaigne est clair : elle se retrouve divisée en deux. Le Piémont est Franais, la Sardaigne est Napolitaine. Le peuple des deux souhaiterait être réunit. La Noblesse ne supporte pas le comité révolutionnaire, et c'est réciproque.
Enfin, le Clergé aimerait une Cathédrale neuve, en meilleur état que celle que le roi de Sardaigne avait construite.

Et, en dernier point, le roi de Sardaigne est prêt à vous laisser le royaume sans faire de vagues, si vous lui permettez d'intégrer, avec sa famille, la Haute-Noblesse du royaume, et que vous lui offrez un poste de conseiller auprès de la cour royale.

Le Roi de Sardaigne et sa famille pourront intégrer la Haute noblesse du Royaume des Deux-Siciles. Il pourra prendre une place de premier ordre à la court de Naples et aura l'honneur et le privilège de faire partie des quelques élues qui nous conseillent.
En contre partie, le roi de Piémont-Sardaigne abdique officiellement en faveur de nous Ferdinand III (offrant ainsi à la couronne napolitaine la possibilité de revendiquer un jour prochain le Piémont). Le reste des armées et de la flotte du roi de Piémont-Sardaigne seront donc intégrer à l'armée du Royaume des Deux-Siciles.

Le roi de Piémont-Sardaigne pourra ainsi avoir l'honneur et le privilège de participer à la grande oeuvre que nous visons.

Le roi de Piémont-Sardaigne accepte ceci et signe le papier de son abdiquation. Il devient votre premier conseiller (instabilité -1) et vous permet d'avoir des revendications territoriales sur la France (Piémont).
Les reste de l'armée du Piémont-Sardaigne vous appartient désormais (3.000 soldats de ligne, 2.000 Hussards, 2.000 Voltigeurs).

Quel serait le cout de la construction d'un grande cathédrale en Sardaigne afin de satisfaire les attentes du clergé ?


De plus, nous pensons à mettre en place progressivement une réforme fiscale, en effet, afin de lutter contre la perte d'argent que représente les privilèges, nous souhaiterions reprendre l'idée de Vauban au temps du Grand Roi Soleil, c'est à dire, la mise en place d'un impot pour tous ? Cela aurait pour l'heure uniquement cour en Sardaigne afin de profiter des avantages de la conquête et que certains ne prennent pas trop d'aise avec le nouveau pouvoir en place.

Quels en seraient les effets ? La noblesse n'appreciera certainement pas cela, mais nos hommes actuellement en place en Sardaigne sont-ils suffisant pour faire taire les mécontantement ? Cela satisferait-il le Peuple et le Tiers-Etat de voir ainsi qu'il n'est plus le seul à devoir payer l'impot ? Enfin, pourrions-nous avoir une estimation des gains d'un tel impot en Sardaigne ?

Le coût de construction d'une grande Cathédrale est de 50.000 Francs. Cela vous octroierait un bonus de -1 en instabilité?

Une telle réforme fiscale coûterait 10.000 Francs à mettre en place en Sardaigne (création d'une milice pour forcer les Nobles à payer, huissiers etc). La Noblesse serait très insatisfaite, tandis que le Tiers Etat, lui, serait assez satisfait de voir que les Nobles leurs sont de plus en plus égaux. Les effets seraient instabilité +1 et un bonus de revenus normaux différent selon les années.

Si nous décidons d'appliquer cette réforme à tout le Royaume des Deux-Siciles, combien cela couterait-il et à quels effets en terme d'instabilité pourrions nous nous attendre ?
Nous supposons que du fait du peu d'investissement de la noblesse dans les affaires du Royaume, sa grande insatisfaction ne se répercuterait que peu sur le revenus, avons nous raison sur ce point ?

En appliquant les impôts sur la Noblesse à tout le Royaume, vous auriez un malus de +3 en instabilité, et cela coûterait 25.000 Francs à mettre en place. L'instabilité due à la Noblesse ferait baisser vos revenus de façon très minimale, si bien que les nouveaux impôts combleraient largement cette perte.

Très bien, nous décidons donc d'appliquer cette réforme. Dorénavant, tous les sujets du royaume, peu importe leur ordre, devront s'acquitter d'un impot ! Il n'y aura plus de statut privilégiés, ainsi le roi a parlé !

Nous dépensons donc en ce sens 25 000 francs afin que cette réforme puisse s'appliquer à tout le Royaume !


Nous souhaitons aussi affirmer au Clergé et pretres de Sardaigne, qu'en Janvier prochain nous lancerons la construction d'une grande cathédrale digne de Dieu et de la foi de nos sujets vivant dans cette ile.