Du destin du Califat de Bagdad

Le Basileus convie l'empereur et le Calife de Médine à Constantinople pour discuter du destin du Califat de Bagdad. Quels sont leurs revendications quant à Bagdad.

Nous remercions l'Empereur de Byzance pour nous avoir convier. Byzance reste cependant fort loin de notre capitale et vous n'etes pas sans savoir la guerre que mène actuellement notre Califat. Bien que celle de Bagdad s'achève sur une fin heureuse, il nous reste que les pillards venus du lointains en Orient pourraient arriver jusqu'à nos terres, de même que la guerre se poursuit en Afrique et tout cela sans parler du fait que notre Califat reste pour l'heure une entité en construction.

Nous ne déclinons cependant point ton invitation ô Empereur d'Orient et te proposons de te faire parvenir des représentants de notre autorité, membres de la famille Califale, ils parlerons en mon nom.

Un tel point te conviendrait-il avant que nous débutions quelques négociations que ce soit ?

Bien entendu, si le Calife ne peux se rendre à Constantinople, il est peut tout à fait se faire remplacer, le basileus n'y voit aucun incovénient, il en serait de même pour l'empereur.

Nous en sommes heureux, nous n'avons point d'exigences particulières si ce n'est celles-ci:

Les cités d'Arabie qui jadis ont rejoins le Califat Abbasside sur la base d'un mensonge était jadis sous l'influence egyptienne du Sultanat Ayyoubide. Aussi, nous souhaiterions que ces cités qui furent trahis par les malversations abbassides, mais aussi qui nous furent enlevés de notre zone influence sans autres formes de procès connaissent à présent le règne bon et paisible du Califat Ayyoubide de Médine.
Nous pensons que ces cités peuvent justement intégrer de droit notre Califat, nombre d'entres elles ont d'ores et déjà accepté de rejoindre notre Califat voyant en troupes l'arrivée du Libérateur. Car contrairement à Bagdad qui utilise et oppressa ces cités, nous sommes pour elles un gage de sécurité et réussite.

En revanche, concernant les terres mêmes du Califat de Bagdad, c'est à dire son territoire historique et originel, nous n'avons pas la moindre réclamation, ni exigence. Nous sommes persuadés que si cet Empire venait à rester entier son prochain souverain ne serait nullement aussi fou que son précédant. Nous souhaiterions seulement que le Califat en lui même soit aboli pour laisser place à un Sultanat afin d'apaiser davantage le monde musulman et mettre fin aux divers impérialismes pouvant naitre dans l'ombre.


Et vous Empereur de Byzance et d'Occident, quels sont vos exigeances concernant ces terres ?

L'Empereur n'a aucune éxigence sur ces terres. Son Honneur est lavé.

Il réclame néanmoins que les dites citées soient autorisées à choisir leur propre destin.

L'Empereur aura-t-il une autre exigence ?

Le Basileus ne demandera pas de Terres non plus, il a aussi fait son devoir en lavant l'honneur de l'empire et en punissant la lâcheté de l'ancien Calife, il demandera toutefois à ce que une indemnité de 1 000 Hypères lui soit versé pour les pillages provoqué par l'ancien Calife.

Non. L'Empereur en a terminé en Orient. Il doit maintenant se consacrer à l'Administration de son Royaume.

Bien voilà donc les conclusions de l'entrevue, le traité de paix imposé à Bagdad par les trois puissances que sont le Saint Empire Romain Germanique, le Califat Ayyoubide et l'Empire Byzantin est le suivant :


1/ Les cités d'Arabie sont placés sous la tutelle du califat Ayyoubide ( vassaux), les cités le désirant peuvent intégré son territoire.
2/ Le prochain souverain de Bagdad abandonne le titre de Calife et prendra celui de Sultan
3/ Le nouveau Sultanat de Bagdad versera 1 000 Hypères à l'Empire Byzantin en indemnités pour les pillages que le Calife déchu à provoquer.

Les Cités d'Arabie vous informe qu'elles craignent que le nouveau Sultan tente de les intégrer, tout comme le fît le Calife. Elles intègrent toutes le Califat Ayyoubide.

Ainsi Soit-il, que la paix règne au Proche Orient.

Nous sommes heureux de cette paix et félicitons les cités d'Arabie pour avoir ainsi fait le plus sage des choix.